identité : Hecatia, nommée d’après la déesse de la sorcellerie elle-même. Je suis née Macmillan, mais j’ai délaissée ce nom depuis longtemps pour prendre celui de mon mari Greengrass. âge & naissance : Née le 26 juillet 1942, en Ecosse, dans la demeure familiale. Cela fait maintenant 42 ans que je foule cette terre. origine & nationalité : Des origines américaines de la part de ma mère, norvégiennes et britanniques de celle de mon père. C’est sous la nationalité anglaise que je me présente pourtant. statut de sang : Pur, pour ma plus grande fierté. études : Poudlard, au sein de la noble maison Serpentard. emploi & finances : ʛʛʛʛʛʛ, la fortune familiale de mon mari comme base solide, et que nous avons su faire prospérer lui et moi. Surtout lui ces dix dernières années. Professeure de botanique intransigeante à Poudlard, auquel je cumule fièrement mon rang de Directrice de la maison Serpentard depuis deux rentrées maintenant. statut civil : Mariée, pour le meilleur les premières années, et les pires ces dernières… Par deux fois mère, lionne quand il s’agit de mes enfants, mes fiertés, mes amours. orientation sexuelle : Hétérosexuelle, sans le moindre doute possible à ce sujet. baguette magique : Bois d’ébène, ventricule de dragon, 31.5 cm, légèrement rigide. Une apparence qui peut impressionner et dont j’aime m’amuser. particularité magique : Occlumens depuis un peu plus de dix ans, confirmée depuis le temps. Mais aussi legilimens bien qu’encore en apprentissage, ayant plus de mal à apprendre cet aspect de la magie que son opposé origines de l'avatar : White (irish)

Que pense ton personnage de la situation actuelle ?
Près de 22 ans déjà que je suis fidèle au Seigneur des Ténèbres. Et près de 17 ans qu’il m’a fait l’honneur de m’accorder sa marque sur l’avant-bras, symbole de ma loyauté et de mon dévouement. Si je dois jouer les femmes neutres et presque scandalisées même par ce qu’il se passe en dehors de Poudlard pour réussir à glaner quelques informations de notre ennemi, je me délecte quand même de l’effondrement progressif du Ministère et de l’affaiblissement de la résistance. Eux qui ne jurent que par leur précieux Ordre en pensant y trouver un quelconque salut… Qu’il me tarde de faire un jour apparaître la marque des Ténèbres au-dessus de la plus haute tour de Poudlard pour déclarer l’école comme conquise à notre cause. Mais en attendant, je dois me faire comédienne et ronger mon frein en attendant le jour de la victoire. Le jour de la libération des faux semblants.

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Macmillan Je n’ai jamais eu beaucoup de reproches à faire à mon père, je dois l’avouer. Je me sentais même assez proche de lui… Enfin, aussi proche qu’on puisse l’être d’un homme si souvent absent, préférant se noyer dans son travail que d’assumer ce qu’il se passait chez lui. Mais je crois que d’une certaine manière, je l’ai toujours plus ou moins compris. A moins que ce ne soit parce que, justement, il nous a transmis cette tendance de fuite en avant pour ne pas avoir à gérer ses problèmes, à mes sœurs et moi. Ma mère, par contre, c’est une toute autre histoire. Autoritaire, bornée, méprisante pour quiconque ne partage pas ses idées… Les cinq premières années de ma vie, je l’ai connu violente mais que verbalement à mon égard. C’est après que certaines limites ont été franchies, que cela a commencé à devenir physique et qu’elle est devenue de plus en plus abusive… Elle qui ne faisait que critiquer, rabrouer, humilier, ne cessait de dire combien les choses étaient mieux en Amérique. Et bien qu’elle y retourne, dans sa précieuse Amérique si elle est si parfaite, plutôt que nous pourrir la vie à tous ici… Mon premier véritable éclat de colère contre elle, durant les vacances d’été entre ma cinquième et ma sixième année à Poudlard. La première fois qu’un sort qui n’aurait jamais dû être lancé d’une mère à sa fille le fut dans cette famille qui marchait complètement sur la tête de mon point de vue. Et pourtant, ce fut loin d’être le seul acte de rébellion contre elle que j’ai eu, même après ça. Très loin d’être le seul même, celui-ci pouvant en fait être vu comme le début d’une véritable guerre entre elle et moi. Etes-vous vraiment surpris si je vous dis qu’aujourd’hui et depuis près de 22 ans, j’ai complètement coupé les ponts avec ma mère ? Et dire que j’ai douté pouvoir être une bonne mère à cause de cette vieille chouette. J’ai tout de même gardé un contact assez sporadique avec mon père, le gratifiant d’un hibou lors de la naissance de mes enfants pour lui annoncer qu’il était grand-père. Je crois d’ailleurs que mon dernier hibou pour lui date de la fin de la scolarité de mon deuxième enfant. Ou avant peut-être ? De toute manière, ce n’est pas vraiment comme si je n'avais jamais reçu la moindre réponse de sa part, alors… Virus et Microbe Durant 5 ans, j’ai été fille unique. Et j’aimais plutôt bien ça, je dois l’avouer. Et puis Virus et Microbe sont nées, alors que j’avais 5 ans pour la première et 7 pour la seconde. Oui, vous connaissez sans doute mes sœurs par leur prénom mais je les ai quand même très vite surnommées ainsi et sans le moindre complexe. Je ne parlerais pas de haine viscérale envers mes sœurs, seulement d’une certaine rancœur contre elles. Car je ne peux m’empêcher de faire le rapprochement entre la naissance de Persephone et le moment où ma mère ne s’est plus contentée des violences verbales à mon égard… Est-ce donc vraiment surprenant que je ne développe pas immédiatement un amour inconditionnel pour elles ? Apparemment, pour notre mère, oui, me valant alors punition sur punition pour ne pas apprécier mes sœurs. Comme si cela allait soudainement me faire avoir envie de les aimer. Sans parler du nombre de fois où j’ai quand même joué, l’air de rien, mon rôle de grande sœur en prenant pour moi toute la colère et la rage de notre mère alors qu’elles en étaient les responsables. Mais que ces petites ingrates avaient l’air de prendre pour acquis, ne me remerciant jamais pour cela ou même s’excusant pour ce que notre mère m’a fait subir dans ces moments-là. J’étais celle qui osait dire tout haut ce qu’elles pensaient tout bas, celle qui en a subi toutes les conséquences à l’époque, seule. Alors oui, en voyant qu’elles agissaient comme mon père, à continuer à vivre dans le déni et me voir comme l’éternelle ennemie - parce que notre mère ne cessait de leur bourrer le crâne avec cette idée - j’ai fini par les abandonner elles aussi et les laisser se débrouiller avec les excès de colère de notre mère. J’avoue malgré tout avoir eu un regret les concernant, quelques temps après la naissance de mon premier enfant. Le regret de ne pas les avoir prise avec moi au moment de claquer la porte des Macmillan, pour m’assurer de les mettre hors de portée de notre mère… Mais le regret finit par s’effacer au bout de quelques semaines, me remémorant les regards qu’elles avaient pour moi à l’époque et ne recevant pas la moindre réponse de l’une comme de l’autre à mes hiboux pour prendre des nouvelles d’elles et leur annoncer le fait qu’elles venaient de devenir tantes. Hogwarts Le premier scandale du point de vue de ma mère concernant ma scolarité a été ma répartition chez les Serpentard, sans la moindre hésitation de la part du Choixpeau. Elle qui avait étudié dans une autre école que le château écossais, je vous laisse imaginer par vous-même l’importance que j’ai accordé à son avis. J’ai adoré chaque moment passé à Poudlard, loin de ma mère et de mes sœurs. Bon, sauf effectivement Virus qui a fini par y faire sa rentrée elle aussi alors que j’entamais ma sixième année et s’est retrouvée répartie dans la même maison que moi. Si à peine arrivée à la table de notre maison, j’ai commencé par lui dire qu’elle m’emmerdait à me suivre partout et qu’elle allait s’en prendre elle aussi plein la figure de la part de notre mère, en réalité, mes amis m’avaient parfaitement vu avoir un petit sourire fier quand le Choixpeau avait prononcé sa décision pour la répartition de Persée. Tout comme ils étaient parfaitement au courant aussi que j’avais discrètement fait passer le mot chez les serpents que quiconque oserait s’en prendre à ma jeune sœur aurait à faire à moi, même si devant elle, je lui disais ouvertement de se démerder seule avec ses problèmes. Mais oui, en dehors de ça, Poudlard m’a permis de découvrir une certaine forme de liberté plus que bienvenue et appréciée. Et pour éviter une nouvelle prise de tête avec ma mère, je n’ai jamais dit à ma famille que j’avais été acceptée dans l’équipe de Quidditch de Serpentard dès ma troisième année, au poste d’attrapeuse. Elle m’aurait encore fait un scandale sur le fait qu’une fille de bonne famille comme moi n’avait rien à faire sur un balai pour jouer à ce "jeu primitif" comme elle disait tout le temps. Rien que pour la contrarier encore un peu plus, j’avoue que j’ai songé un temps à faire carrière dans le Quidditch. Heureusement pour moi, ma pseudo menace de lui arracher les yeux si elle venait à le dire aux parents fut prise au sérieux par ma sœur, qui ne souffla pas un mot à ce sujet. Non, le deuxième scandale du point de vue de ma mère fut quand je lui fis bien comprendre que je n’avais aucune foutue affinité ou intérêt pour l’astronomie alors que de son côté, elle avait décidé depuis mes 6 ans que j’excellerais dans ce domaine et y travaillerais. Mon truc, c’était bien plus la botanique, m’étant presque découverte une passion pour les plantes et tout ce qui était possible avec elles. Mais vous commencez à connaître ma mère, vous imaginez donc sa réaction à l’idée que sa précieuse fille aînée soit heureuse d’être couverte de terreau et ait les mains sales du matin au soir… Comme quoi, j’ai quand même fini par la contrarier encore un peu plus en devenant botaniste après mes études à Poudlard.  Greengrass J’ai rencontré mon homme à Poudlard. Il était à Serpentard lui aussi, avait un an de plus que moi et je suis tombée amoureuse de lui au cours de ma quatrième année. Après s’être tournés autour un moment, nous avons fini par nous mettre en couple au milieu de ma cinquième année. Entre nous deux, c’était l’amour fou. Allez savoir pourquoi, j’ai naïvement pensé que le fait qu’il soit lui aussi d’une famille de sang-pur, d’une bonne famille comme disait si bien ma mère, allait me permettre d’avoir la bénédiction de mes parents concernant notre relation. Mais étant donné que ce n’était pas ma mère qui l’avait choisie, autant vous dire que mon homme ne trouva jamais grâce à ses yeux. A tel point que je venais à peine de quitter Poudlard que ma mère cherchait déjà à me marier. Oh, j’en ai débouté des prétendants envoyés par ma mère, et rarement de façon diplomatique. Je crois bien en avoir choqué un en lui disant ouvertement que les enfants que je porterais ne seraient pas de lui mais de mon amant. Et par amant, je parlais bien sûr de mon homme, mon premier amour. Et chaque fois que j’envoyais promener un prétendant, ma mère s’agaçait un peu plus. J’avais tout juste vingt ans quand j’ai fini par perdre patience et que nous avons décidé de nous marier, mon homme et moi, qu’importe l’avis de ma famille. Oh oui, ça a fait scandale chez les Macmillan, oh oui, l’annonce ne s’est pas faite dans le calme, et oh oui, j’ai fini par claquer la porte de chez mes parents pour ne plus jamais y revenir. Mon homme est devenu mon mari, je suis devenue une Greengrass… Et aucun Macmillan ne fut présent à mon mariage… Mais les Greengrass ont vite comblé mon malaise en m’accueillant à bras ouverts et avec joie dans leur famille. Un an à peine après notre mariage, mon mari et moi avons accueilli notre premier enfant, suivi par le second trois ans plus tard. J’avoue que j’avais des doutes quant à mon rôle de mère, par crainte de ressembler à la mienne. Mais mon homme a toujours trouvé les mots pour me rassurer. Et il avait raison en plus, dès l’instant où on m’a mis mon premier né dans les bras, je l’ai immédiatement aimé. Inutile de dire que ce fut exactement la même chose avec le deuxième, et que maintenant que j’étais mère à mon tour, je ne comprenais absolument pas comment la mienne avait pu se comporter de la sorte avec mes sœurs et moi. Mais je préférais me concentrer sur ma nouvelle famille que sur l’ancienne. Nous étions heureux, amoureux, et tout le monde voyait en nous le couple parfait, puis, une fois les enfants nés, la famille parfaite. Une image que nous avons toujours fait en sorte de continuer à cultiver mon homme et moi, amoureux comme au premier jour et complices à tout instant. The Dark Lord J’ai commencé à vraiment entendre parler des idées du Seigneur des Ténèbres lors de mes dernières années à Poudlard, à travers des discussions avec d’autres sang-purs dans la salle commune. Je ne sais plus si j’y ai adhéré par moi-même, malgré le mode de penser imposé par ma mère à ce sujet, par provocation encore une fois à son encontre. Ou parce que j’étais plus ou moins influencée par le fait que mon homme aussi y adhérait sans mal. Mais une chose est sûre, c’est que nous étions d’accord avec les idéaux des mangemorts lui et moi. C’est assez naturellement et d’un commun accord que nous avons officiellement rejoint leurs rangs quelques semaines seulement après notre mariage. Ensemble au moment de les rejoindre, ensemble au moment de voir nos avant-bras marqués par le symbole de Lord Voldemort et ses partisans, au début du mois de février 1968. Une récompense de sa part pour notre participation et notre présence, mon mari et moi, lors du meurtre de Doria Hudson. Si ce n’est pas l’un de nous qui a eu l’honneur de faire apparaître pour la première fois la marque des Ténèbres dans le ciel cette nuit-là, la fierté d’y avoir assisté reste grande.  Mais malgré tout, nous avons tout fait pour rester extrêmement discrets sur notre appartenance aux fidèles de Voldemort, de cacher au mieux cette marque lorsque nous ne sommes pas entourés d’alliés. Par nécessité au départ, puis par prudence ensuite, pour s’assurer de ne pas être démasqués et pouvoir rester des atouts pour les mangemorts. Et même après plus de vingt ans de présence dans les fidèles du Seigneur des Ténèbres, ce dernier n’a jamais eu besoin de douter le moindre instant de notre dévouement à sa cause et de notre loyauté à son égard. Il sait parfaitement pourquoi nous nous montrons aussi discrets, mon mari et moi, contrairement à d’autres de ses fidèles. Professor Botaniste indépendante depuis plusieurs années, j’ai sauté sur l’opportunité de devenir professeure de cette matière à Poudlard quand le poste s’est libéré, il y a une dizaine d’année, juste avant la rentrée mon premier enfant. Bien évidemment, ma candidature ne fut pas la plus évidente malgré ma discrétion sur mon allégeance au Seigneur des Ténèbres, le nom de famille de mon mari n’aidant pas. Et même si mon idée de base était effectivement d’en profiter pour infiltrer une place forte de Dumbledore et chercher à glaner des informations sur notre ennemi, je me suis surtout présentée comme une mère pas réellement prête à voir son premier né faire sa rentrée à Poudlard sans continuer à le voir tous les jours. Ce qui était parfaitement vrai qui plus est, ce poste me permettant littéralement de faire d’une pierre deux coups. Bien que mes enfants ont assez vite déchanté à l’idée de m’avoir comme professeure, leur laissant passer encore moins de choses qu’aux autres. Intransigeante quel que soit mes élèves, j’ai fini par me rendre compte que j’aimais transmettre mon savoir sur ce sujet. Ainsi que jouer sur la confusion que je pouvais provoquer en me présentant comme professeure de botanique alors que je suis très loin des clichés qu’on peut avoir par rapport à ce genre de poste. Et si je sais que certains de mes collègues sont encore légèrement méfiants à mon égard, j’ai fini par me faire une place au sein du château écossais, ma nomination comme directrice de la maison Serpentard il y a deux rentrées en étant la preuve à mes yeux. De quoi me permettre de remplir autant que possible ma mission envers le Seigneur des Ténèbres. Une mission que j’ai même fini par compléter par celle de profiter de mon poste pour repérer les jeunes sorciers prometteurs pouvant nous rejoindre parmi les mangemorts. Troubles in paradise Les enfants ont grandi, notre premier né ayant déjà l’âge que j’avais quand je l’ai eu, une idée à laquelle j’ai du mal à me faire je dois l'avouer. Et ce n'est pas la seule chose qui a évolué dans notre famille que nous voulions parfaite en tout point, mon mari et moi : il y a aussi notre relation à tous les deux. On pourrait dire que les flammes de la passion ont fini par tout consumer, ne lançant que des braises sur son passage si on se sent l’âme romantique. Je ne saurais même pas dire exactement quand ou pourquoi les choses ont commencé à déraper entre nous deux. A moins que je ne veuille pas admettre la cause de tout ça. Quoi qu’il en soit, notre mariage d’amour fou s’est transformé peu à peu en mariage de compromis, puis de non-dits et maintenant de rancœur. Depuis près de 6 ans maintenant, nos disputes auparavant si rares sont devenues quotidiennes, pour absolument tout et n’importe quoi. Mais jamais en public, jamais devant la famille, jamais devant les enfants. Non, il faut sauver les apparences, continuer encore et toujours à donner l’image du couple parfait. Divorcer ? Hors de question, on ne divorce pas chez les Greengrass. Et on ne parle absolument pas de l’image que cela renvoie, alors que nous avons fait de celle de notre couple notre force tout au long de notre vie, dans presque tous les domaines. Après tout, pour moi il est aussi bien mon premier amour, mon homme, mon mari et le père de mes enfants que mon meilleur ami et mon meilleur allié. Alors non, personne ne sait à part nous deux, gardant nos disputes et éclats de colère pour nous deux, quand les portes sont closes, et continuant de jouer au couple parfait en public, devant n’importe qui d’autre. Un jeu de dupe qui commence pourtant par me peser et me fatiguer, alors que je nous sens nous éloigner un peu plus l’un de l’autre à chaque fois…


En vrac
Restant de l’éducation plus que stricte de ma mère ou juste moi qui aime être coquette, je n’en sais rien. Mais reste que je fais toujours en sorte d’être aussi impeccable que possible et d'apparaître sous mon meilleur jour. ~ Je suis devenue une experte du sort Récurvite, même de manière informulée, à force de l’utiliser plusieurs fois par jour avec mon travail. ~ J’ai vraiment failli devenir joueuse professionnelle de Quidditch, les Harpies de Hollyhead étant prêtes à me prendre dans leur équipe à ma sortie de Poudlard. Mais aujourd’hui, je me contente d’être une grande supportrice de cette équipe et d’aller voir chaque match de l’équipe nationale d’Irlande. ~ J’ai appris très jeune à mentir aussi facilement que je respire et à me montrer parfaitement hypocrite quand il le faut. Il n’y a que mon mari qui semble capable de détecter d’un simple regard mes mensonges, bien que je ne l’ai jamais fait avec lui. ~ Si j’ai la phobie de devenir un jour comme ma mère, ça reste le corps sans vie de mes deux enfants que les épouvantards me montrent depuis leur naissance. ~ Traumatisée par ma mère, j’ai toujours refusé d’utiliser le sortilège d’Endoloris sur qui que ce soit… Par contre, j’excelle dans l’utilisation de celui d’Impero. ~ Je déteste la Bièraubeurre ! J'ai toujours trouvé cette boisson particulièrement écœurante et je ne comprends pas le succès qu'elle peut avoir. ~ Je fais régulièrement des insomnies. Il n'est pas rare de me trouver dans la serre que je me suis aménagée dans notre manoir lors de certaines nuits où le sommeil me fuit. ~ Quand je suis nerveuse, ou que je veux donner l’impression de l’être, je me mets à jouer avec mon alliance, la faisant tourner autour de mon annulaire avec le pouce de la même main. ~ En bonne british que je suis, je peux pratiquement être qualifiée d'accro au thé quand on voit la consommation que j'en ai.

mischief managed.

j'adooooore Hecatia   on a quelques similitudes entre nos personnages, faudra qu'on réfléchisse à un lien   j'ai hâte de la voir en jeu en tout cas, y a plein de possibilités de développement, ça va être chouette à jouer/suivre    

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