identité : il trouve bien stupide les significations, porte le nom des fugitifs ( ó téacháin ) et le prénom des héros ( niallán ). âge & naissance : ( trente-cinq ans ) bébé du premier janvier dix-neuf-cent-cinquante, à l'ironie de porter une date aussi ronde quand on est soi-même blindé d'épines ( dans la campagne irlandaise ). origine & nationalité : du regret de porter un nom à l'irlandaise, un héritage qui aurait fait plaisir à un fantôme ; il aurait préféré se tourner vers les racines ausoniennes ( vieille italie ) de sa mère. statut de sang : du sang-mêlé à l'image d'une potion mal touillée, il ne connaît pas le géniteur qui s'est barré quand  il a découvert la supercherie ; s'est occupé seul d'une mère sorcière à l'abandon depuis des années. études : il se trouve le coeur bien mal taillé pour la maison serpentard, y a pourtant passé sept ans ; avec plus ou moins de souffrance engendrée. poudlard comme petite bulle, il aimait bien avoir un pied loin de la maison et des responsabilités ; aurait même été prêt à supporter encore quelques années de plus les harceleurs si ça lui avait permis de faire moins de conneries une fois balancé dans la vraie vie. emploi & finances : ʛʛʛʛʛʛ, des dettes bien mal remboursées aux maigres revenus financiers ; un genre d'imposteur qui a passé presque huit ans en tant que langue-de-plomb qui est incapable d'y retourner, embauché avec discrétion en tant que soigneur animalier ( pour le parc naturel ). statut civil :  célibataire à la cuirasse dorée, un fantôme dans les pattes quand il cherche à passer du temps avec quelqu'un, des regrets qui voilent la raison. orientation sexuelle : avis différé ; tombé amoureux sans le vouloir, comme on prend une porte dans la gueule en se levant le matin, était un peu trop tard quand il l'a vraiment compris. il trouve plus d'amité chez les demoiselles, ne se pose pas trop la question mais se demande s'il n'aime pas plus (+) les garçons. baguette magique : chène rouge, crin de licorne, 27 centimètres ; baguette flexible, au coeur doux qui se complaîrait dans les mains de n'importe quel sorcier. origines de l'avatar : white (père irlandais, mère italienne, un peu d'allemand, suisse, anglais).

Que pense ton personnage de la situation actuelle ?
neutre ; du mal à se projeter dans une guerre, du mal à sortir la tête de sous l'eau quand on a ds problèmes bien ancrés dans la réalité, qui semblent bien moins éphémères ; pas touché intimement par la guerre jusqu'ici, a vécu les dernères années à l'étranger, pour la plupart du temps sans avoir eu accès à la moindre nouvelle venue de l'extérieur. il se retrouve balancé de droite à gauche en angleterre depuis quelques temps, a choisi un travail tranquille loin du ministère, loin de tout pour respirer l'air : ne supporterait plus d'être enfermé dans une nouvelle case ; cage.

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psychological record: transferred to ministry of magic justice department


chronology

 1949  père parti avant la naissance, n'a pas supporté que la mère soit une sorcière, trouvait l'idée trop étrange pour lui, imaginait probablement qu'elle risquait de finir brûlée sur un bûcher ou les poches pleines de crapaud. │ 1950  naissance dans la campagne irlandaise, le prénom loin des origines italiennes choisi en croyant que ça ferait revenir le généteur, la mère s'est pourtant retrouvée toute seule avec un nouvea-né brailleur sur les bras. │ 1957  maman diagnostiquée d'une maladie à corps de lewy.

il compte les pillules comme il l'a bien appris à l'école, s'était trompé une fois mais ne pense pas vraiment que ça s'est vu. il sait très bien que maman n'aime pas du tout les pillules, qu'elle les trouve grossières, inutiles, qu'elle n'a jamais envie de les prendre mais que c'est le médecin qui l'a demandé, m'man, allez et qu'il a fait promettre au petit garçon qu'il devait les lui faire prendre, coute que coute ;
comme si c'était facile,
comme si, à chaque fois, maman acceptait de les prendre et que c'était pas lui qui devait ruser pour les glisser un peu partout.

il a toujours l'impression de ramer à l'envers, que ça devrait même pas être à lui de le faire, que les devoirs à faire l'école c'était déjà bien, et qu'il aurait pas fallu en faire aussi à la maison ; surtout quand maman commence à oublier un peu tout et n'importe quoi, jusqu'à retirer les casseroles du feu.

 1961  entre à poudlard, il ne se rappelle même pas trop si maman lui a déjà parlé de poudlard ; les souvenirs lui échappent, parfois. │ 1961  il est réparti à serpentard, après trop de réflexion de la part du choixpeau, s'est presque demandé s'il méritait vraiment d'être là ou s'il n'était qu'un faux-sorcier. │ 1964  s'était fait quelques copains parce qu'il est facile à vivre, qu'il suit bien tout et n'importe quoi et qu'il sait toujours s'éclipser au bon moment.

eh ó téacháin, t'étais passé où encore ? il hausse les épaules, le p'tit niall, l'habitude qu'on le cherche toujours partout parce qu'il a besoin de cette bulle, de ce sas où on le laisse tranquille pour aller regarder les oiseaux ou lire un livre sous l'arbre à la bibliothèque. pas qu'il aime pas les copains, pas qu'il aime pas passer du temps à raconter les derniers ragots du dortoir, mais plutôt parce que des fois c'est bien d'être tout seul.

il se sent jamais vraiment seul, en fait. l'impression d'être un adulte dès qu'il pose un pied à la maison, l'impression d'être un elfe de maison aussi ( maintenant qu'il sait ce que c'est ) quand c'est toujours lui qu'on envoie chercher les victuailles aux cuisines, ou les livres oubliés à la bibliothèque. il s'en plaint pas trop, il continue à sourire, il se dit qu'on l'aime bien et il trouve que les copains sont sympas, pas intimes, mais sympas.

& puis une fois, il surprend l'autre gamin, celui que tout le monde aime pas trop parce qu'il est toujours tout seul, qu'il a les vêtements déchirés ou qu'il a de la bouse d'hippogriffe sous les chaussures ; niall l'a déjà vu se faire embêter par les autres serpentards, mais il a fait comme les copains il a détourné un peu le regard.
sauf ce jour-là, où ils sont tous les deux arrivés en retard. l'un l'air d'avoir été soufflé au sèche-cheveux après une baignade dans le lac et l'autre en retard parce qu'il avait tenté d'entasser trop de livres dans un même sac à dos sans avoir réussi son sort d'élargissement. collés au fond de la classe, ensemble, comme deux pestiférés parce que le cours avait déjà commencé et niall qui le connaissait pas trop, l'avait jamais vraiment vu en fait, jamais vraiment causé.

glacius. on est partis pour un moment, hein ? je doute d'arriver à faire un jour sortir de la glace de ce truc en bois. hausse les épaules, secoue sa baguette en signe d'échec. je suis meilleur pour la faire exploser, en général. walden, c'est ça hein ? niall.
& lui tend la main, pour la serrer, quand il arrive à lui décrocher un sourire.

 1965  devenu indissociable de walden tant ils sont collés, ensemble ; tout le temps, partout. détourne même un peu la tête devant les autres copains, surtout quand on s'en prend à son meilleur ami. │ 1967  obtient neuf buses sur les neufs passés, mais personne à la maison pour le féliciter vraiment ; comme un air d'habitude qui fait pourtant mal. │ 1968  rentre à la maison pour les vacances de noël, avec regrets parce qu'il préfèrerait de loin être à poudlard. trouve les fioles vides sur le sol et personne à la maison, l'aide-soignante a déserté la baraque et c'est la panique.

m'man ? n'a même pas eu le temps d'envoyer un hibou à walden pour dire qu'il était bien rentré et qu'il s'ennuyait déjà de poudlard, qu'il trouve les fioles vides et les clés sur la porte. elle se rappelait surement plus que j'rentrais aujourd'hui... pas comme si elle l'avait un jour vraiment attendu, ça avait toujours été plus ou moins l'inverse.
pose ses affaires, fait le tour de l'appartement sans trouver personne. a l'habitude des hallucinations, qui la font sortir dehors en pleine nuit, ou ouvrir les robinets sans jamais les refermer, laissant niall se débrouiller à tout éponger. il s'attend toujours plus ou moins à ce que ce soit la police moldue qui la ramène à la maison, parce qu'elle sera sortie en chemise de nuit dehors pendant l'hiver.

la porte qui s'ouvre brusquement, faisant brinquebaler les clés dans la serrure ; sur uen silhouette rieuse et m'man ? oh, mon chéri, t'es déjà rentré ! je t'avais envoyé un h... une lettre se reprend quand il distingue une autre silhouette derrière sa mère, plus large et plus imposante, et surtout un peu trop inconnue à son gout. c'est qui ? c'mon fils ! tu sais je t'en avais parlé... ouais nan t'm'avais pas dis que t'avais un gamin dans les pattes... on aurait pu aller chez moi. gamin ? se lève, pour se rapprocher du type qui a l'impression de pouvoir passer le seuil de son appartement comme s'il était chez lui & surtout comme s'il était le premier à vouloir s'imposer chez eux. mais non, il s'en va, hein mon chéri que tu t'en vas ? j'comptais aller nul part, c'est plutôt... attends, ne me dis pas que tu es ivre ? un sourcil interrogateur braqué sur sa mère, qui se met aussitôt à glousser. ivre ! tu l'écoutes ! maman ! le docteur t'interdis de boire avec les médicaments c'est pas prudent... amorce un geste pour la tirer vers lui, l'extaire du barbu et la faire rentrer dans l'appartement pour trouver un moyen de la décuver avant qu'elle perde trop l'esprit, quand le type arrête son bras d'un coup sec. tu te prends pour qui, le gamin ? elle fait ce qu'elle veut et toi tu vas dégager. dégager ? de chez moi ? c'est plutôt... n'a même pas le temps de finir, que le poing s'abat contre sa tempe, l'envoyant valzinguer aux pieds du sofa. niall ! mais bon sang commencez pas ! se relève en vitesse pour daigner un regard furieux sur le pauvre type qui pense mieux savoir que tout le monde et reste un instant interdit d'avoir pris si facilement un coup, hésite entre les poings et sa baguette, avant que la raison ne l'emporte et qu'il se jette à main nues sur le type, préférant de loin les cicatrices aux ennuis avec le ministère pour avoir attaqué un moldu.

lettre à walden:

 1969  obtient  tous ses aspics, n'a jamais cessé d'être un excellent élève mais ne sait pas trop quoi faire à la sortie de poudlard et enchaine quelques petits boulots. │ 1971  postule au ministère en tant que langue-de-plomb, gamin excellent qui se trouve parfaitement adapté en tant que scientifique, à la recherche de remèdes utiles à sainte-mangouste. │ 1973  adore son job, il y passerait tout son temps et son énergie si maman n'en drainait pas autant. il saisit une pointe de jalousie chez walden, avec qui il a gardé les liens après poudlard ; promet d'un jouer trouver le remède à toutes les maladies.

m. ó téacháin ? lève la main pour signaler sa présence, et suis le recruteur dans une autre pièce. il se demande bien si sa candidature a des chances de passer, a postulé presque sur un coup de tête.
il s'assied en face du type habillé tout de noir, une fois que l'autorisation lui est donnée, et le laisse lire les documents en silence. d'excellents résultats aux aspics. un constat, pas vraiment une question. vous avez de très bonnes qualifications dans les matières demandées par sainte-mangouste. pourquoi venir chez nous plutôt que de prendre un poste important dans la médicomagie ? vous aurez une liberté dans vos agissements bien différente une fois ici. c'est justement ce que je cherche, monsieur. j'ai l'impression que mes connaissances et mes compétences seraient bien mieux appliquées à la recherche qu'à la guérison, j'ai effectué quelques stages dans plusieurs services de l'hopital, mais je m'y sens... à l'étroit.
il a choisi la carte de l'honnêteté, s'attend plus ou moins à ce que ses compétences l'intéressent, bien qu'il ne sait pas si un gamin de serpentard un peu perturbé comme lui peut prétendre à d'aussi hautes fonctions ; se demande si les gens du ministère n'aiment pas plutôt avoir des gens de grands noms plutot que de petits sang-mêlés.
bien, bien. à première vue, vous semblez déterminé à intervenir dans nos services de recherches. c'est votre profil aux tests qui déterminera cependant si votre candidature sera conservée ou non. hoche la tête et déglutis, un vague sourire sur les lèvres ; comment avouer, qu'il s'y prépare depuis des mois ( quitte à avoir négocié des heures supplémentaires auprès de ses professeurs pour ne pas manquer sa chance une fois sa candidature posée au département des mystères ), et qu'il est plus que prêt à se lancer dans les tests.

 1974  rentre à la maison tous les soirs, survient aux moindres nouveaux besoins de maman, jongle entre les hallucinations et les délires, la paranoïa, les pertes de connaissance et les oublis ponctuels. dépense des sommes astronomiques dans des nouveaux traitements, jusqu'à aller se coincer dans des dettes avec les mauvaises personnes, récoltant ci et là quelques bleus.  │ 1976  touche le fond, s'est tellement dédié à vivre à travers elle ces dernières années qu'il a l'impression de cesser d'exister quand elle passe de l'autre côté du voile. a l'impression de ne pas avoir fait assez, de ne jamais faire assez, de devoir faireplus alors que c'est déjà trop tard. s'isole, beaucoup, regrette, énormément et s'éloigne des autres pour essayer de se rapeler qui est est sans s'occuper d'elle. │ 1976  obtient une opportunité importante, celle de se rendre en france, chez les flamel pour continuer ses recherches. s'est noyé dans le travail pour pouvoir expier ses regrets, en délaissant tout le reste autour.

 1977  se trouve un point d'appui bien plus important sur le point scientifique une fois en france, s'évertue à trouver un remède, utile, efficace contre les maladies neurodégénératives. se sent limité, à l'étroit dans ses hypothèses, pourtant & commence à accepter des solutions plus ou moins éthiques, flirte avec les limites, poussés par les autres scientifiques, corroborées par de jolies signatures sur de jolis formulaires.│ 1979  la fois de trop, le débarquement qui démantèle le laboratoire éthiquement incorrect, pensait d'être sufisamment prémuni contre ce genre d'attaques judiciaires ; mais s'état visiblement trompé. jugé pour un crime mineur, prend trois ans d'isolement à la prison sorcière française.

tw: recherches scientifiques, tests de remèdes sur êtres humains:

il déteste quand ça marche pas ; parce que ça ne marche jamais, qu'à chaque fois c'est un putain d'échec et qu'il n'arrive pas à espérer plus que quelques heures de tranquilité d'esprit. se promet de ne jamais être vraiment tranquille, en tous cas pas avant d'avoir mis la main sur un vrai remède.
& ces formulaires bidons qu'il doit encore et encore faire signer, chercher quelqu'un d'autre qui souhaiterait mettre la main à la patte et qui répondrait aux critères de recherche. peu trouver dans la rue des tas de types louches qui accepteraient de prêter leur corps à la science pour quelques gallions, mais beaucoup plus difficile de trouver des personnes répondant exactement aux conditions symptomatiques requises pour faire avancer son schmilblick.

passe des jours, des heures, des nuits à travailler, en oublie même les hiboux, en oublie même l'angleterre et les vieux amis qui se font plus rares dans ses pensées. a eu du mal à tout quitter, mais l'a quand même fait sur un coup de tête. il se trouvait au prise avec des sentiments qu'il ne gérait pas, entre les regrets, la jalousie de ne pas donner plus de temps à ceux qui étaient encore là, à celui qui comptait. s'est éloigné de walden, par choix ; parce qu'il arrivait déjà pas à démêler qui il était lui-même pour en plus devir gérer une espèce de relation amicale tordue dans laquelle il avait l'impression d'être pris dans un sac sans fond rempli de jalousie, se l'était bien assez fait reprocher quand il pouvait passer des jours sans quitter son bureau ou sans prendre une douche parce que maman avait eu besoin de lui.

& forcément, la tête dans le guidon ; quand les recherches prennent de l'ampleur, quand l'objectif de sa vie se résume à trouver un putain de remède à ces maladies à la con et qu'il ne vit, ne dort, ne mange plus que des potions et des vieux enchantements. qu'il devient excellent, parfait, lustré et qu'il s'enferme, s'embourbe dans un cercle vicieux. en voudrait plus, toujours plus, ne trouvant même pas de solution.

il accepte des partenariats vaseux, se laisse tenter par la réussite quand il flirte avec les limites pour outrepasser les règles et proposer à de vrais patients de participer aux recherches. maquille les crimes, maquille les erreurs, maquille les essais, pour les beaux yeux de la médecine. se déresponsabilise en faisant signer les formulaires qui n'ont pas de valeur légale, mais continue quand même, jusqu'au bout, l'impression de toucher du bout des doigts la solution qui se rapproche.

& puis ils débarquent, en grande pompe, comme dans un vieux hitchcock.
poussent tout par terre, récupère des piles de dossiers à éplucher, retournent les derniers essais infructueux pour vérifier les identités, reportent son nom sur tous les papiers, jusqu'à le faire comparaitre devant les juges sorciers français, qui statuent un délit mineur parce que protégé par le consentement des victimes et le partage de responsabilité avec d'autres scientifiques ; balancé au coeur d'un scandale titré en grosses lettres sur la famille flamel. trouve un très bon avocat, et s'en tire pour trois ans seulement, et un retrait d'exercice en france.

tw: prison, ptsd:

 1982  retrouve la fraicheur de la pluie, la liberté, l'extérieur. part avec les cauchemars et le besoin de prendre l'air ; retourne sur ses pas, reviens à l'angleterre-maison. │ 1982  ne supporte plus d'être bouclé entre quatre murs, ne supporte pas l'idée de remettre les pieds dans un labo ; a perdu a légitimité, a peur de ne pas retrouver son sens moral. s'inscrit au parc naturel comme soigneur, temporairement d'abord, a sufisamment d'aspics en créatures magiques et de connaissances en soins pour suffir.

il referme la barrière du terrier des veaudelune d'un geste de la baguette, adore particulièrement quand c'est lui qui doit s'occuper d'eux ; parce qu'il adore leurs yeux globuleux, leurs petits pattes
& se rappelle surtout de la première fois qu'on l'a envoyé s'en occuper, et qu'il n'avait juste pas remarqué la barrière magique, laissée ouverte pas le stagiaire ; entraînant un carnage de l'un des terriers par deux hodag qui n'attendaient que cette opportunité. il avait déteste devoir nettoyer derrière le foutoir que ça avait causé, et préfère maintenant y vérifier à deux fois que tout est opérationnel avant de quitter la zone qui leur est dédiée.

eh niall, tu passeras par le marécage avant de partir s'il te plaît. on nous a rapporté qu'un pitiponk s'était coincé, mais j'aurais pas le temps. valide d'un hochement de tête, n'a pas de refus contre les horaires supplémentaires, alors qu'il a l'impression d'avoir vécu une autre vie, autefois ; à s'enfermer des heures et des heures dans un bureau. valide son intervention sur le parchemin dupliqué magique de la réserve avant de se barrer vers les marécages.

lettre à maman, brûlée:

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mischief managed.

encore une fois à nous servir une pépite, il s'agirait d'arrêter à un moment    
j'ai beaucoup trop aimé lire la fiche de niall et le découvrir sous toutes ses coutures   au risque de me répéter, il est juste tout parfait, j'ai beaucoup trop hâte de voir comment il va évoluer et comment il va faire son retour à londres surtout    en tout cas, rebienvenue chez toi, tu connais le chemin pour à peu près tout, réinstalle-toi bien  

Tu es maintenant prêt.e à t'épanouir à nos côtés ! Nous te suggérons de commencer par aller vérifier les registres, afin de t'assurer que tout est bien en ordre — puis tu es libre de t'amuser ! N'oublie pas qu'en cas de besoin, tu peux toujours contacter @sirius black, @cordelia nott ou encore l'un des membres du staff qui nous aident en ce moment. Et si tu as quelques idées pour alimenter La Gazette du Sorcier, n'hésite pas non plus à les contacter. Bon jeu parmi nous.  

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