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the fall of the phoenix.
septembre 1985. Sur les côtes anglaises, un duel entre Albus Dumbledore et Voldemort a lieu dans une caverne isolée. Dumbledore y perd la vie, et sa dépouille est exposée au Ministère comme un sombre avertissement.
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glow in the dark est un forum basé sur l'univers d'harry potter. Les personnages des romans sont jouables. attention l'histoire se déroule dans les années 80. En cas de question n'hésitez pas à consulter les admins Sirius Black, Cordelia Nott ou Walden Macnair. Bon jeu parmi nous.
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Alastor Moody
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Alastor Moody
Evanesco
avatar : Ryan Gosling ; ava by jenesaispas ; icons by renegade ; gif by depressedonion
pronom irl : elle
multicomptes : Aries, Jude & Septimus
Messages : 427
pronom perso : il
âge : 40 yo.
emploi : Alast-Auror.
Leader du chaotique Ordre du Phoenix.

statut civil : qu'est-ce que ça peut te faire ?
statut de sang : bizarre de poser la question.
études : oui.
particularité magique : plus doué que toi.
adresse : même les hiboux la trouvent pas.
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(#) Sam 24 Aoû - 23:42    giving you a nightcall w/Mundungus

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tw : c'est déjà pas très chaste dans l'idée, oups.

Bordel, ce que la réunion avait traîné ce soir. Après la journée déjà crevante, à user en interrogatoire un foutu connard pas prêt à lâcher trois mots, avec ce sourire qui le rendait fou. Orson Blackwell, si tel était son vrai nom, était aussi loquace qu’une porte de prison. Olivia et lui avaient passé la journée à le travailler sans résultat, de quoi lui donner envie de cogner un mur en sortant. Croiser Oz dans le couloir lui avait passé l’envie, heureusement, tout comme la perspective de devoir se justifier en allant au QG. Plusieurs équipes devaient débriefer, et on attendait de lui qu’il endosse son rôle de grand sage. Pas celui de l’impulsif qui s’éclatait une phalange à la moindre contrariété. Donc Moody était allé se calmer à coup de clopes jusqu’à la fin du service, avant de transplaner direction le vieux château humide, même en été. Et là, même pas une mission pour lui redonner un bout d’espoir. Tout avait des allures de cul de sac, des filatures aux recherches d’infos.

C’était que Fletcher avait pris la parole. Posé sur sa chaise, l’air renfrogné comme tout le temps, jambes croisées, Alastor avait écouté avec l’inflexibilité qu’on lui connaissait. Depuis quelques mois, Fletcher se voyait confier des missions un peu plus importantes. Pas essentielles, mais quand même, la confiance était semblait-il revenue. Dumbledore l’avait félicité, deux trois membres taquiné là-dessus. Et Moody de se justifier qu’il fallait maintenant que toutes les forces soient sollicitées pour que l’ordre revienne au milieu du chaos. Comme si c’était la seule raison. Mais à le voir là, à ne pas ciller, personne n’aurait pu deviner. N’aurait pu sentir que son rythme cardiaque s’accélérait toujours légèrement quand la voix de Fletcher se faisait entendre. Même ce soir, à raconter un échec flagrant sur une piste que Moody savait pourtant chaude. La colère froide qui se mêlait à autre chose, mais chut. Faire comme si de rien n’était. Donner la parole à un autre, pour entendre un nouveau récit triste. On va y arriver, ce genre de conneries obligatoires pour galvaniser les foules. L’espoir, c’était le nerf de la guerre, que lui avait dit Dumbledore. Si seulement.

Bientôt, les membres se dispersèrent après avoir eu le cul vissé à une chaise trois heures durant. La vie de famille à retrouver, une femme à embrasser au coeur de la nuit, un gosse à border même tardivement. Moody, lui, marcha de longues minutes, de pièces en pièces, jusqu’à atterrir dans la cuisine poussiéreuse où dormaient de vieilles bouteilles de tord-boyaux. L’envie de s’en ouvrir une fut forte, trop sûrement. Ses lèvres eurent raison d’un bouchon pourtant bien vissé, l’envoyant valser au sol avant d’envisager de s’en enfiler une grosse lampée. Mais ce fut sans compter l’arrivée d’un autre qui n’avait rien ni personne à retrouver. Même de dos, il aurait reconnu son pas entre milles. Baissant la bouteille, un rictus traversa furtivement son visage. « C’aurait été bien qu’on ait un truc à célébrer, hein ? » Sauf que ça faisait bien longtemps qu’il se faisait plus d’idées. Bien longtemps aussi qu’il ne trouvait même plus de prétexte pour justifier l’envie d’un peu de proximité avec lui. Seulement lui. Se tournant lentement, son œil valide rencontra ceux de Fletcher. De sa baguette, Moody fit claquer la porte, précaution inutile dans un château qu’il savait désormais vide. Mais on n’était jamais trop prudent. « J’sais que t’as fait de ton mieux. » Y’a cinq mois encore, jamais ces mots n’auraient franchi ses lèvres. Comme les choses changeaient, pas vrai ? « Et j’sais qu’ce soir, on peut trouver mieux à faire que s'lamenter. » Pas le genre de Moody que de jouer sur les mots, mais he. Ce que le désespoir faisait faire aux gens. L’envie, aussi. Reculant d’un pas, l’auror posa son jean usé contre la table à côté, optant finalement pour une gorgée qui lui arracha la gorge. Est-ce qu’ils étaient seulement à ça près ?

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Mundungus Fletcher
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Mundungus Fletcher
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avatar : hugh dancy (avatar; @me) • (cs; queen hari ♡♡)
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multicomptes : walden; aristide; aberthol; ozymandias, barbie
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pronom perso : he/him
âge : 44 ans, seulement physiquement; taureau de fin avril (( le 29 - 1941)) dans toute sa splendeur, que l'âge ne semble pas atteindre lorsqu'il s'agit de se faufiler dans n'importe quel endroit ou en fuir en un rien de temps.
emploi : traîne à gauche, à droite, dans l'allée des embrumes, partout où y faudrait pas, laisse toujours traîner une oreille au passage, amasse cacailles et les revend au prix fort. quand trafiquant d'objets & ingrédients ne suffit plus, sert de pigiste chez sorcière hebdo; massacre autant horoscope qu'ego des pauvres concernés.
statut civil : n'arrive déjà pas à se poser dans un lieu fixe, engage rien de sérieux et c'est le célibat qu'accompagne au fil des années.
statut de sang : pureté n'a peut-être même jamais approché le nom de famille, fletcher bien connus pour être de sang mêlé, peu importe la branche.
études : s'est retrouvé en écosse ((poudlard)) à l'occasion, de trop longues minutes choixpeau vissé sur la tête à la répartition ((choixpeauflou)), n'arrivait pas à départager les serpents des aigles chez qui finalement a fait toute sa scolarité.
adresse : partout et nulle part en même temps, squatte chez qui il peut; en dernier recours, loue une chambre au chaudron baveur.
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(#) Lun 26 Aoû - 22:26    Re: giving you a nightcall w/Mundungus

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tw : aucun

la réunion avait été longue, particulièrement longue. et pourtant, n’avais pas cherché à l’interrompre d’une connerie ou l’autre. bien incapable de rester tranquille le cul sur une chaise pendant plus de dix minutes, t’étais levé bien plus de fois que de raison, avais fait les cent pas, été chercher de l’eau pour les premières personnes qui avaient le malheur de détenir un verre à moitié vide ; mais à part l’éternelle bougeotte, avais même cette impression d’avoir été trop sérieux.

n'avais pas eu de quoi la ramener fallait dire ; échec cuisant de cette mission qu’on avait pu te confier. pas le premier, pas le dernier non plus, mais aurais préféré que ça prenne une autre tournure, pouvoir plutôt faire la grande gueule, même ne serait-ce que quelques secondes auprès d’alastor, au lieu de le voir là, sur sa chaise, avec son air plus qu’indéchiffrable. n’avais jamais été du genre à prendre les choses à cœur, à te laisser atteindre par ce qu’on pouvait penser de toi. fallait dire que depuis que t’avais rejoint l’ordre, savais bien que la méfiance te suivais comme une ombre de la plupart des membres, que les travers et les erreurs, étaient comme des cicatrices sur la gueule que personne ne pouvait ignorer. pourtant, depuis quelques semaines plus particulièrement, avais eu un désir de prouver qu’étais plus que ce que les autres voyaient, que derrière l’apparence délabrée, tu valais peut-être quelque chose de plus que ça. une preuve que tu ne cherchais à apporter qu’à l’auror.

ça aurait été un des plus gros mensonges de l’humanité que de dire que tu n’avais jamais eu une certaine attirance envers lui, ce besoin de le pousser à bout ou de le faire réagir d’une manière ou d’une autre. mais depuis cette autre nuit, où il avait déboulé blessé, que les barrières de l’un et de l’autre s’étaient totalement baissées, ça t’avait bien prouvé que l’attirance ne venait pas que d’un côté. te l’avait bien prouvé à quelques reprises depuis. alors lorsque la réunion avait enfin touché à sa fin, n’avais pas pu t’empêcher de suivre de loin le cadet. peut-être qu’il repartirait droit vers le ministère ou en plein milieu de nulle part pour une mission. mais il finit par s’échouer dans la cuisine, et à la manière d’un papillon de nuit attiré par la lumière, rejoins la pièce, où sa silhouette de moody, de dos – bouteille à la main – se détachait clairement.

il ne met même pas quelques secondes à capter ta présence, si ce n’était pas déjà le cas depuis que vous aviez quitté la salle de réunion, et prends sa phrase comme une invitation à te rapprocher, à le rejoindre, ne serait-ce que le temps de quelques minutes.
« —on n’a peut-être rien à célébrer, mais on peut au moins essayer de ne pas tout gâcher. » fallait bien avouer que c’était plutôt frustrant pour le moment, de voir que ça n’avançait pas, même pas un peu comme vous le voudriez. mais n’étais pas du genre à lâcher l’affaire, pas en tout cas lorsque ça concernait l’obtention d’informations.
« —on en aura pt’être bien l’occasion bientôt. je suis presque sûr que je pourrai les avoir à l’usure, paraît que je suis plutôt doué pour ça. » le sourire aux faux airs fiers qui se colle sur le visage alors que l’auror se retourne ; aurais pu tourner la tête vers la porte lorsqu’elle claque, mais les yeux d’alastor sont bien plus intéressant, bien que gardes une pointe de culpabilité depuis qu’il a balancé la vérité, depuis que tu savais qu’un seul des deux était fonctionnel.

ses mots, si simples, avaient pourtant un poids que tu pouvais ressentir jusqu’au fond des tripes. t’hoches légèrement la tête, comme pour accepter cette reconnaissance, parfaitement incapable de le faire oralement, même si elle laissait un arrière-goût étrange. depuis quand t’étais devenu quelqu’un dont on reconnaissait les efforts ? surtout venant de moody ? comme l’impression que ça pouvait cacher quelque chose, mais si tu pouvais bien compter sur quelque chose, c’était sur la franchise de l’auror.

viens te caler à côté de lui près de la table, sans vraiment lui demander son avis, ne perds pas une seconde pour d’un léger bond t’asseoir sur elle, gagner quelques centimètres alors que les pieds commencent à se balancer dans le vide. et le voilà qu’il balance l’air de rien cette invitation grossièrement cachée, qui fait directement briller le regard d’une certaine malice et que lui prends sa bouteille pour en prendre à ton tour une gorgée qui fait grimacer.
« —y a toujours mieux à faire que de se lamenter, alastor. » retrouves le sourire en un rien de temps, alors que laisses les yeux le dévorer pendant quelques secondes alors qu’un silence s’installe, que tu brises rapidement après une deuxième gorgée de cet alcool, suivi d’une grimace encore plus forte.
« —oh et par merlin reprend-moi ça, si j’en bois encore je vais me retrouver par terre dans cinq minutes. » bien plus un prétexte pour tendre la bouteille à moody qu’autre chose, et pour que les doigts se frôlent brièvement. c’était presque rien, mais dans cette nuit étouffante, c’était déjà un début, loin d’être suffisant à l’esprit, ni au corps qui s’était rapproché du sien, assez que pour pouvoir profiter de sa chaleur.

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(#) Mer 28 Aoû - 21:46    Re: giving you a nightcall w/Mundungus

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tw : plot twist, moody a une libido en fait.

Comme un truc étrange à se trouver là avec Mundungus, à causer de mission avec l’air sérieux qui allait toujours avec pour lui, carrément moins pour Fletcher. Au début, ça lui avait fait drôle, et même encore un peu aujourd’hui. L’impression que ça sonnait faux, alors que la sincérité de l’indic n’était plus tellement à contester. Sûr qu’il était lâche, plus rien à rattraper de ce côté là, il le savait. Sûr qu’il ne pourrait jamais compter sur lui pour lui sauver la vie, ou même un membre. Mais les derniers mois, l’Auror l’avait senti investi. Réellement investi, à chercher des infos et à en ramener des exploitables. Trois semaines plus tôt, le rapport impeccable ou presque l’avait fait dérailler, pic d’adrénaline incontrôlable qui l’avait fait transplaner avec lui là où tout avait recommencé, Chaudron Baveur, eux deux, lui, un bout de nuit arraché au chaos ambiant pour un peu de plénitude. Fou comme ses bas instincts étaient revenus vite. Fou comme il savait se battre contre plein de choses dans sa vie, mais pas ça.

C’était que Fletcher avait raison. Avoir les gens à l’usure, c’était son truc. S’incruster dans leurs vies comme une tique sur le cul d’un croup, squatter là jusqu’à faire partie du paysage et qu’on ait même plus à contester sa présence. S’il pouvait exceller autant avec les ennemis, quand même… Mais bon, compliment lâché comme ça, léger mais bien assez déjà dans la bouche d’un Moody qui en était souvent avare - surtout envers lui. Et là, puisqu’un miracle n’arrivait jamais seul, voilà que même pas une réponse à ça, rien. Y’aurait pourtant de quoi se vanter. Etait-il seulement possible que les gens changent vraiment ? Au fond, pas vraiment. Lui était toujours l’Auror bourru, pas prompt à parler, des airs d’adulte qui lui collaient à la gueule depuis qu’il était sorti de Poudlard - ou depuis le berceau, à en croire feu son père. Fletcher, lui, gamin insolent, grimpé sur la table comme un fléreur à balancer ses jambes comme l’aurait vraiment fait un môme. On change pas une équipe aui n’a plus rien à perdre.

Y’avait déjà électricité dans l’air, qu’on se le dise. A peine leurs présences seules à seules, là, dans la pièce. Dans les regards, ça se masquait mal. Mais l’entendre prononcer son prénom, voilà qui n’arrangeait pas les choses. On l’appelait bien comme ça que pour les choses sérieux. Partout, tout le temps, on lui donnait du Moody. Sauf pour l’engueuler, bizarrement. Ou capter son attention plus que de raison. Et là, l’attention toute captée alors qu’en face ça grimaçait. Putain de tord-boyau, le genre à caler un goût dégueulasse en bouche pour la soirée, jusqu’au lendemain. Ce que ça faisait faire, les échecs… Mais pas échaudé pour autant, Fletcher reprit une lampée avant de lui rendre. Comme s’il avait envie de ça. Le contact électrisant l’avait déjà fait penser à autre chose. Putain, reprends-toi Alastor. Mais peine perdue. Fletcher lui avait balancé pire qu’un sort de confusion. Infoutu de penser à autre chose qu’à l’envie de l’allonger sur la foutue table. S’agissait de se ressaisir. « S’tu comptes sur moi pour t’ramasser… » La vérité, c’est qu’il l’y aurait plutôt rejoint. Dans les tympans, bien plus bas aussi, ça commençait à taper. Pas bon ça. Pour quelqu’un qui aimait pas perdre le contrôle, pas bon du tout.

Pas céder comme ça, pas maintenant. Pas lui donner les rênes de tout, parce que tendez à Fletcher une main, il vous prendra un oeil. Pourtant, la serrure de la lourde porte se fit entendre, cause informulée. Ca, il l’avait bien fait exprès. Tout comme s’enquiller une nouvelle gorgée qui fit moins mal, force de l’habitude sûrement. Comme avec Mund, finalement. « On n’est jamais trop prudents. A nous voir picoler comme ça, qu’vont dire les gens ? » Personne sûrement n’aurait pensé qu’un mec comme lui pouvait avoir des envies pas bibliques, alors juste, se dire que ça y était, vraiment réconciliés les deux compères. « Prochaine réu, j’vais m’voir obligé de te coller un taquet. Faudrait pas qu’on pense que j’me radoucis. » Ni les alliés, ni les ennemis. « En tout cas, s’tu files le train aux cibles avec la même discrétion qu’ce soir, j’vais devoir revoir ma phrase d’avant. » Après tout, pourquoi pas commencer maintenant ? Sauf que quand Fletcher voulait se faire oublier, il y arrivait très bien. Sauf avec Moody. Ca, l’un comme l’autre, ils n’avaient jamais réussi.

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(#) Dim 22 Sep - 21:43    Re: giving you a nightcall w/Mundungus

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tw : aucun

la table n’était pas si inconfortable que ça, le semblait même moins que la chaise sur laquelle t’avais pu rester, même si d’ici une dizaine de minutes, ce serait une autre paire de manches. étires les bras plus que de raison, l’excuse parfaite pour frôler l’auror, comme toujours à chercher ce contact qui se refaisait presque familier depuis quelques temps. et il n’a pas l’air de vouloir s’en défaire. alors ça redonne confiance, comme si t’en avais besoin. en oublierais presque les derniers échecs l’espace d’un instant, tout comme le goût absolument infect de cet alcool que moody avait déniché tu ne savais où. valait mieux ne pas savoir au final. préfères ne pas en prendre plus que nécessaire, n’avais jamais été du genre à supporter plus d’un ou deux verres, et préférais de loin avoir les idées claires peu importe l’instant.  au moins un minimum, étais déjà bien trop distrait par la présence de l’auror, par cette proximité amorcée. il fait sourire, ce qui ne peux que faire du bien dans un moment pareil, après une journée pareille.
« —comme si t’allais jouer l’bons samaritains, tu te retrouverais plutôt en moins de deux par terre aussi. » ou en profiterait pour se foutre de ta gueule aussi, mais ça, ce serait amplement mérité ; n’allait pas être ça qui allait te miner, il en faudrait bien plus.

la serrure se tourne, se ferme en un cliquetis certainement dû à un sort informulé. soi-disant pour qu’on ne vous voie pas en train de boire. n’y crois qu’à moitié, mais joue quand même le jeu, peut-être bien pour lui faire un peu plaisir, pour faire durer le moment.
« —t’inquiète pas, ils ont déjà bien matière à causer, c’est pas le pire qu’ils pourraient ressortir. » n’avais jamais réellement fait quoique ce soit pour qu’on puisse parler en bien de toi, que ce soit ici ou ailleurs, te débarrasser de la mauvaise réputation qu’on te collait. pas comme si elle était infondée non plus.

les sourcils se haussent légèrement, prêt à pas mal de choses, moins à ce qu’on critique le peu de travail que tu pouvais apporter. peu, mais généralement bien fait quand même. semblant de menace qui donne des envies d’encore mieux faire, pour ne pas lui donner raison.
« —tu comptes me le coller gratuitement ? » prends l’air faussement offensé, ce n’est pas comme si ce serait la première fois qu’il te ferait une remarque, que t’en profiterais pour lui répondre et surenchérir.
« —je pourrais mal le prendre, me vexer. » commences à lister en appuyant à chaque fois sur un doigt différent. aurais pu continuer encore longtemps, y avait matière à creuser, encore plus à lister. t’arrêtes pourtant là, à faire mine de réfléchir à ce que tu pourrais sortir d’autre.
« —j’veux bien être le boursouf noir, mais pas gratuitement. » toujours une idée derrière la tête qui traînait, mais en même temps n’allais pas gentiment t’en prendre une, alors que tu faisais ce que tu pouvais ces derniers temps. bien plus qu’à tes débuts dans l’ordre, où tu avais un peu tout fait pour qu’on comprenne que tu n’y étais pas forcément entré de ton plein gré, que c’était plutôt un concours de circonstances.

« —je t’en prie, je t’aurais filé une attaque si j’vais réellement voulu être discret. » peut-être pas non plus, parce que l’auror était trop sur ses gardes, qu’il se doutait que tu resterais dans le coin. n’avais pas des masses d’endroits où aller, alors qu’ici t’étais presque certain de ne pas risquer grand-chose, d’avoir la paix au moins le temps de quelques heures, et de dormir dans un endroit un tant soit peu décent, ça te changerait de d’habitude. être accompagné aussi, même si de ce côté-là, tu ne pouvais pas trop te plaindre ces derniers temps, l’auror se pointait de temps à autre, pour ton plus grand plaisir.

d’un coup, décides de descendre de ton perchoir, l’herbe a l’air plus verte ailleurs, a l’air surtout plus verte près de moody. avais peur de tout, surtout de rien, mais pas de lui ; alors que c’était presque de notoriété publique que se frotter à lui revenait à se brûler. mais cette électricité dans l’air alors que tu te rapprochais encore un peu ne ressemblait en rien à de la peur, c’était tout autre chose, de bien plus profond qu’un échange de regards ou de mots. t’arrêtes à quelques centimètres de lui, bien trop proche pour la conversation, le visage à moitié éclairé par la lumière vacillante de la pièce. et il ne bouge pas d’un poil, ne bronche pas ; sen dans cette immobilité un appel silencieux, une invitation à tester les limites que vous aviez plus que transgressées depuis quelques semaines.
« —et j’me sentirais mal de te faire subir ça, vieux grincheux. » l’insulte qu’à moitié vraie, mais là à presque lui marcher sur les pieds de proximité, la tête relevée pour mieux le regarder, à s’en donner le torticolis. et l’espace d’un instant les paroles résonnent, perdent de leur second degré en repensant à son œil ; début de culpabilité qui se creuse et se crée. mais l’instant, le reste prend le dessus, n’était pas l’heure des remords, les faire taire en un rien de temps, à l’instant où les mains s’agrippent à sa cape pour l’attirer à toi , céder enfin à cette envie de l’embrasser, avec trop d’empressement, qui datait au moins du milieu de la réunion.

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(#) Lun 23 Sep - 22:09    Re: giving you a nightcall w/Mundungus

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tw : petri lis pas le trigger warnning si tu veux pas le spoil, je mets des mots pour que tu vois pas mais après je supprimerais mais non ne lis pas te spoile pas stp... on est sur un -18, rien d'imaginé, purement ellipsé juré.

Entre Moody et Mund, y’avait toujours eu ce truc. Cette incompatibilité incroyable dû à des défauts de communication inhérents aux caractères. Un qui parlait trop, l’autre pas tellement. Un qui déballait et enchaînait premier degré et troisième, en s’enfilant un truc à dix, et le dernier qui devait décoder sans comprendre toutes les subtilités. Pour autant, il y avait aussi cette forme de langage inconscient, celui des corps qui se comprenaient. Et le tout formait un bordel tellement complexe que personne ne s’y retrouvait. Après le silence donc, Mundungus retrouva l’habitude de surenchérir, toujours toujours contredire. Comme si Alastor se serait retrouvé au sol pour aller y chercher un ivrogne, même lui hein… Jamais de la vie. Mais le dire ne changerait rien. C’était ça aussi, Moody. Abandonner les batailles verbales déjà perdues d’avance. Mais le corps lui savait. Verrouiller déjà la pièce en devinant clairement l’issue que personne ne viendrait contredire. Des semaines déjà qu’il se disait que ça flairait la sale mauvaise idée que de louvoyer avec un bandit pareil. Mais le corps a ses raisons et ça, oh ça… Vraiment des plombes qu’il avait plus ressenti l’ivresse des passions à assouvir.

Sauf que Moody cherchait toujours la justification. Se faisait l’idée qu’à trop rien tenter contre un Mundungus en public, la plèbe y verrait signe de foutue faiblesse. Devinerait en rien ce qui se jouait en coulisses, mais se dirait que l’auror n’avait plus l’instinct qui le caractérisait et ça, oh ça… Mais Fletcher rétorqua comme un gamin piqué à vif. Peut-être parce qu’il y donnait du coeur cette fois ? Ca ne sonnait pas comme les fois d’avant, où la provoc s’invitait. Vraiment, la perspective de se faire tacler en public pour rien semblait l’irriter. Quoi, ils en étaient là ? Ils n’étaient rien, pourtant. Des amants auraient dit certains. Putain, laissez le rire. Dans amant, y’avait racine d’amour. Et dans ce qui se jouait là, rien de tout ça. Aussi Moody le laissa déballer son semblant de numéro dramatique, à se la jouer bouc émissaire. Qu’il le veuille ou non, la pique, il la prendrait. De toute façon, à un moment ou un autre, il le décevrait. C’était la vie et il le savait.

Alors comme ça, le Fletcher pensait pouvoir le surprendre d’une attaque. Surpris par l’insolence, Moody lâcha un rire léger, pur, pas contrôlé. Il en avait dompté des plus coriaces. Fletch avait la magie faible, lui les réflexes et la paranoïa qui le rendait aux aguets. Son attaque aurait été contrée en moins de deux. Mais lui laisser croire, ce soir, pourquoi pas… Après tout, la soirée était pleine d’un spleen auquel il ne pouvait trop rien. T’facon, est-ce que c’était seulement les mots qui l’intéressaient ? D’un coup, il y avait une proximité, et quoiqu’il fasse, aussi fort qu’il soit à repousser les mages noirs, Moody n’arrivait pas à lutter contre ça. Sans broncher, l’Auror planta son seul oeil valide dans le sien, l’écouta se moquer. Et sans rien dire, accepta le baiser sans même opposer une once de résistance. Sa main vint se caler dans la nuque, un peu rude, comme si ça comptait la douceur hein ?  Sa langue épousa la sienne, trouvée sans même avoir à chercher, et son corps délaissa la table pour s’appuyer contre le sien. La main libre posa la bouteille, agrippa la fringue à portée pour ne lui laisser aucun échappatoire. Trop tard maintenant pour réfléchir, trop tard maintenant pour se demander;

« Putain… » lâché entre deux souffles. C’était là, trop fort, trop violent. Une main passée dans les cheveux pour les décoiffer plus qu’ils n’étaient déjà, comme s’ils avaient besoin de ça. « J’devrais être en train de chasser le mangemort, et au lieu de ça… » Sa bouche s’était éloignée, ses yeux pas ouverts pour autant parce que le regarder, c’était céder plus encore. « Tais-toi. » Parce qu’il savait ce qui allait venir. Une phrase de plus, de trop peut-être et il ne voulait pas de ça. Sa bouche pour le faire taire et en demander plus, tellement plus que c’en était insolent. Rien à foutre du contexte, du décorum. Déjà les minutes passaient, l’envie grandissait tellement que merde, on s’en foutait.

Combien de temps passé depuis le baiser ? Ils en étaient là, à ne plus avoir de décence, allongés sur un mélange de capes et de fringues froissés, leurs corps encore fébriles de ce qui venait de se passer. La sueur autre que celle issue d’une course effrénée après la racaille. Son front posé contre celui de Mund, Alastor ne pensait plus à rien, ou presque. Pas sa faute, les hormones, le bordel interne. La lune baignait depuis longtemps la pièce, sans autre lumière que ça. Son seul oeil encore capable de voir observa un peu de ce qu’il y avait à voir, un soupir, du silence vraiment. Derrière la porte, un bruit, quelqu’un qui parut toquer avant de se résigner. Et puis « Alastor ? » Bordel, mais qui c’était ? D’ordinaire, Moody aurait renfilé la cape, grogné un mot à la porte. Mais là, rien ne l’aurait fait se lever. « Molly Weasley… » murmura-t-il sans qu’un mot ne sorte pour autant de sa bouche, si collée à celle de Mund que l’étreindre n’aurait demandé aucun effort. La voix de la rouquine venait de lui revenir. Trépignant un peu, la mère au foyer leva le camp finalement. Mieux valait, en réalité. « Si un drame vient de se passer, je m’en voudrais toute ma putain de vie. » lâcha-t-il finalement d’une voix terriblement rauque et encore enivrée du moment délicieux. Il allait falloir arrêter ça. Fletcher aurait sa perte, et celle du monde sorcier s’il ne faisait pas plus attention que ça. Ressaisis-toi, Moody. Putain.

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Mundungus Fletcher
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âge : 44 ans, seulement physiquement; taureau de fin avril (( le 29 - 1941)) dans toute sa splendeur, que l'âge ne semble pas atteindre lorsqu'il s'agit de se faufiler dans n'importe quel endroit ou en fuir en un rien de temps.
emploi : traîne à gauche, à droite, dans l'allée des embrumes, partout où y faudrait pas, laisse toujours traîner une oreille au passage, amasse cacailles et les revend au prix fort. quand trafiquant d'objets & ingrédients ne suffit plus, sert de pigiste chez sorcière hebdo; massacre autant horoscope qu'ego des pauvres concernés.
statut civil : n'arrive déjà pas à se poser dans un lieu fixe, engage rien de sérieux et c'est le célibat qu'accompagne au fil des années.
statut de sang : pureté n'a peut-être même jamais approché le nom de famille, fletcher bien connus pour être de sang mêlé, peu importe la branche.
études : s'est retrouvé en écosse ((poudlard)) à l'occasion, de trop longues minutes choixpeau vissé sur la tête à la répartition ((choixpeauflou)), n'arrivait pas à départager les serpents des aigles chez qui finalement a fait toute sa scolarité.
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(#) Sam 9 Nov - 20:18    Re: giving you a nightcall w/Mundungus

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un rire, un vrai. de la part de l’auror c’était plus que chose rare. aurais pu dire que t’avais gagné ta soirée rien qu’avec ça, mais n’avais pas envie de t’arrêter en si bon chemin. n’avais pas spécialement à le faire non plus, alors qu’il avait même l’air réceptif pour une fois. enfin, pour une fois, c’était un peu exagéré. depuis quelques semaines – mois ? – quelque chose avait changé entre vous, s’était mué petit à petit après cette soirée au chaudron baveur. aurais pensé que c’était l’histoire d’un soir, que vous en resteriez là et que tout reviendrait comme avant. ou presque. oubliais pas – n’oublierais pas – ce qu’il avait pu te confier, consciemment ou non, sur son œil. n’étais pas du genre à laisser les remords ou la culpabilité te bouffer, ou prendre ne serait-ce qu’un peu de place. plutôt du genre à ne penser qu’à ta gueule et tirer ton plan de ton côté sans penser au reste ni aux autres.

mais là, aussi ça avait été différent. ça t’avait pris la tête pendant un moment, avant d’accepter le fait que tu ne saurais rien y changer, que c’était trop tard, ta lâcheté avait déjà fait des siennes, rien ne lui rendrait la vue peu importait toutes les excuses que tu pourrais lui faire. valait mieux continuer d’avancer du mieux que vous le pouviez l’un et l’autre. et si avancer signifiait partager l’une ou l’autre nuit ensemble, tu n’allais pas t’y opposer. une idée et une envie qui se renforçaient alors que vous vous retrouviez là, à terre, les souffles encore entremêlés, son front qui vient rejoindre le tiens en provoquant un sourire au passage. profitais du moment, et pour une fois, ne prenais même pas la peine d’ajouter quoique ce soit, juste pour pouvoir profiter de l’instant, de profiter de sa présence. quelques minutes hors du temps, où les frissons prennent encore au corps. pourrais rester des heures de la sorte, déjà du genre à te laisser aller à la paresse, alors si en plus t’étais confortablement installé, il ne fallait pas compter sur toi.

et l’auror qui ne faisait rien pour te dégager ou essayer de s’extirper non plus. mais des bruits de pas viennent briser le silence un peu trop plaisant. ne bouges pas pour autant, parce que même si la personne essayait d’entrer, la porte était fermée à clef, et alastor devait être un des maîtres en la matière de ce genre de sorts. ça toque sur le bois, mais ne réagit pas une seule seconde, te contentes d’observer les réactions de l’auror, voir s’il allait se lever, mais rien. juste les lèvres qui bougent, semblent prononcer un nom ; molly weasley. si la curiosité se creuse pendant le temps de quelques secondes, elle ne dure pas plus longtemps que ça. parce qu’il n’y a aucune agitation, aucun semblant de frayeur non plus. ça ne devait pas être plus urgent que ça. reposes la tête sur le torse de l’auror alors que les pas s’éloignent dans le couloir, es secoué d’un rire silencieux le temps de quelques secondes.
« —t’inquiète que si y avait eu le moindre drame, ça aurait plus secoué qu’ça. » et elle n’aurait pas été seule à venir non plus. et vu le silence qui était revenu, elle était la seule à s’être pointée peut-être bien dans tout le château.
« —t’sais que tu peux pas être partout, pour tout le monde. » la main vient traîner sur son torse, comme pour ancrer le moment, pour le rendre plus tangible aussi.
« —et même si t’essaies- » ajouté en relevant la tête, un sourire espiègle accroché aux lèvres.
« —y’aura toujours des gens pour t’attraper et te rappeler que t’es pas que l’grand justicier que t’aimerais être. » le regard à moitié provocateur, à moitié sérieux ; parlais de toi bien sûr, sans doute que quelques autres pourraient se rajouter à la liste.
« —et si tu t’en rends compte de toi-même, t’sais où aller. »

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