avril 1985. Un match de football moldu est organisé, on y attend tout le gratin du gouverment ! Inquiet, le ministère de la magie s'invite pour lutter contre les mangemorts prêts à attaquer. Lentement mais sûrement les tensions grimpent, l'ordre veille ; on se demande qui va attaquer en premier.
glow in the dark est un forum basé sur l'univers d'harry potter. Les personnages des romans sont jouables. attention l'histoire se déroule dans les années 80. En cas de question n'hésitez pas à consulter les admins Sirius Black ou Cordelia Nott. Bon jeu parmi nous.
âge : fermes les yeux sur les quarante et une années déjà écoulées ((11 mai 1944)) préfères vivre au jour le jour sans les prendre en compte, continues de vivre la nuit comme si les réveils n’étaient pas de plus en plus difficiles, que le brouillard mettait de plus en plus de temps à se dissiper, loin d’apprendre des erreurs anciennes ou récentes.
emploi : fraîchement engagé en tant que professeur de potions à poudlard. as d'abord commencé par sept ans à sainte mangouste, au service d’empoisonnement par potions et plantes, qui finissent en chute libre. décides de ne pas te démonter, passion toujours présente, restes huit ans à ton compte en tant que potionniste-apothicaire dans ta propre boutique au chemin de traverse. arrière-boutique servait officiellement à toutes les confections de potions, officieusement, t’en servais aussi pour y revendre herbes d’une toute autre magie.
statut civil : les gestes qui se multiplient, les doigts qui s'enlacent et les soirées qui manquent de moins en moins de compagnie.en couple, avec jude, et ne pourrais être mieux. imagines mal avenir sans lui, profites de chaque minute passée à ses côtés, de chaque moment partagé.
statut de sang : taché depuis des générations, loin de la pureté prônée par certains, sang plus que mêlé, incertain, mère née-moldue, semble détester la magie (même la sienne) autant que certains en détestent l’absence dans les veines de ses ancêtres. deux mondes qui ne cessent de se croiser, de se heurter, querelles évitables à tes yeux.
études : y est allé les bras ballants, sans la moindre idée de la maison dans laquelle t’avais envie d’atterrir. conversation avec le frère cadet, quelques jours auparavant, il n’arrêtait pas de parler de l’une d’entre elles, insistait presque et aucune autre ne semblait avoir grâce à ses yeux. tapes causette avec le choixpeau, balance que poufsouffle serait la meilleure des maisons pour toi, maintiens que tu préférerais les vert et argent, t’assures de retrouver ton frère l’année d’après au sein de la même maison. n’as de toute manière jamais vraiment porté attention au blason arboré par les amis que tu pouvais te faire.
adresse : as cette chance de pouvoir choisir entre appartements à poudlard ou occuper celui que tu loues depuis bientôt neuf ans sur le chemin de traverse, au numéro 135. petit appartement qui suffit amplement, redécoré à gauche et à droite, où les plantes ont tendance à prendre le dessus; où les affaires de jude se multiplient.
cloche avait retenti, annoncé la fin des cours et pourtant, restait un retardataire à son bureau, qui essayait tant bien que mal de verser un minimum du contenu de son chaudron dans une fiole, les gestes désordonnés, trop pressés pour arriver à quoique ce soit de concluant. aurais pu mettre ça sur l'envie de quitter la salle le plus rapidement possible, de profiter de son temps libre, mais l'idée avait rapidement changé, pris une autre tournure en constatant le regard larmoyant. n’hésites pas une seconde à aller vers lui, t’accroupir devant son bureau pour pouvoir être plus ou moins à sa hauteur. « —quelque chose ne va pas? » demandé le plus doucement possible pour ne pas le brusquer, pour ne pas empirer que ce soit la situation ou son état. mine qui se renfrogne en t’entendant, touille encore un peu dans son chaudron, articule difficilement un ’ça’ avec un geste du menton vers sa potion, qui avait plus des airs de soupe à la grimace qu'autre chose, n’avais rien à voir avec l’exercice demandé, malgré tous les efforts que l’élève avait pu fournir. ressentirais presque son désespoir, et bien évidemment, ne peux qu’être touché par la situation, et de lui proposer de la refaire avec lui, après t’être assuré qu’il n’avait pas d’autres cours par la suite ou quelconques plans avec des amis. ravale rapidement ses larmes pour se concentrer sur ce nouvel exercice, et ne s’en sort pas si mal du tout. deuxième essai bien plus concluant que le premier, fini par repartir avec un sourire de la salle, bien plus confiant qu’avant, et c’était tout ce qui comptait.
restes encore quelques minutes le temps de ranger et nettoyer correctement la salle, avant de regarder l’heure. jude ne serait pas encore de retour, et idée trottait presque depuis l’instant où tu avais pu mettre les pieds ici, en plus d’être l’occasion parfaite de pouvoir connaître un peu plus tes collègues. bien que dernier arrivant au sein des rangs des enseignants, n’avais apparemment pas oublié les lieux pour autant. comme si c’était hier, que traînais dans le parc alors que les jours rallongeaient, que le temps le permettait. te diriges petit à petit vers les serres, qui impressionnent encore, même de loin. espères ne pas déranger, mais quand passes la porte, intérieur a l’air plus que calme, collègue devait bel et bien avoir fini son cours, restait à espérer qu’elle soit encore dans les parages.
te perdrais presque dans la contemplation des premières plantes que tu peux croiser, voudrais et pourrais t’arrêter tous les mètres pour pouvoir observer un peu plus l’environnement, noter tout ce qu’il pouvait s’y trouver. faut bien quelques minutes pour trouver l’enseignante, occupée à replanter végétal que tu n’arrivais pas à distinguer de là où t’étais. « —hecatia ? » préférais t’assurer qu’elle t’entende arriver plutôt que de risquer de la surprendre si elle était prise dans quelque chose. n’était pas totalement inconnue, avais pu la croiser lors des études, seulement de deux années ton année, et en plus, attrapeuse de votre équipe de quidditch que t’avais pu admirer pendant tout un temps. pas plus proches que ça, n’aviez pas gardé le contact, si ça se trouvait, elle ne te remettrait pas directement, voir pas du tout. « —je ne te dérange pas ? » pourrais repasser plus tard, voir un autre jour si elle préférait. ça n’avait rien de bien urgent pour le coup. te rapproches de quelques pas pour lui tendre la main, serait déjà bien plus poli. « —aberthol, j’ai été engagé il y a quelques jours. » autant lui éviter quelconque gêne si elle ne se souvenait plus du prénom, ne lui en voudrait certainement pas si c’était le cas.
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flying high; watching the world pass me by. never want to come down; never want to put my feet back down on the ground.
NEVER LET ME, DOWN AGAIN.
Hecatia Greengrass
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membre ☆ death eaters no need for a nose, we have voldemort.
Evanesco
pseudo : AshTac
avatar : Katie McGrath [@Wiise]
pronom irl : elle
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Messages : 107
pronom perso : elle
âge : 42 ans, née le 26 juillet 1942
emploi : Professeure de botanique à Poudlard et directrice de Serpentard
statut civil : Mariée.... pour le pire ces derniers temps
statut de sang : Pur
études : Chez les Serpentard de 1953 à 1960
particularité magique : Occlumens confirmée depuis une dizaine d'années. En apprentissage de la legilimancie, entre deux migraines ou saignements de nez que cela me provoque.
adresse : Dublin, terre irlandaise avec un bras de mer entre ma famille de naissance et celle que j'ai fondé, pour être sûre de m'éloigner autant que possible de la première.
fréquence rp : 10 à 15j en moyenne
warning : élitisme, maltraitance infantile, famille dysfonctionnelle, conflits familiaux, mariage devenu dysfonctionnel, jeu d’apparences, situation de guerre du contexte.
(#) Jeu 9 Mai - 19:26 Re: rolling thunder (hecatia)
tw: //
Rolling thunder
La fin du cours sonne, permettant à mes élèves de troisième année de pouvoir les libérer. Bien que je leur demande de nettoyer leurs plans de travail avant de pouvoir quitter les serres. Et gare à celui qui ne le fera pas, même si je n'ai pas besoin de le leur rappeler. Ils sont en troisième année maintenant et le savent déjà très bien pour ceux qui ont tenté de le faire lors de leurs deux premières années dans ma classe. C'est bien plus souvent ceux de première année que je reprends là-dessus de manière plus ou moins diplomate selon mon humeur et le nombre de fois que j'ai déjà eu à le rappeler. Sans parler des points en moins, mais là encore, c'est une autre histoire.
Ils finissent par me laisser seule quelques instants plus tard, laissant également retomber le silence dans les serres. Un silence qui me va aussi très bien parfois, tant qu'il n'est pas aussi lourd que celui qui règne chez moi quand nous ne sommes pas occupés à nous disputer avec mon mari. Et même si cela reste une autre histoire, cela explique aussi ma réticence à profiter d'avoir fini mes cours d'aujourd'hui pour rentrer chez moi. A la place, je m'assure que mes élèves n'aient pas laissé de bazar derrière eux, que tout est bien en ordre dans les serres. Je tire parti de ce petit tour de ce qui se rapproche le plus de mon domaine dans l'enceinte de l'école pour vérifier aussi comment se porte les plants de mes élèves de manière générale, quel que soit leur niveau. Cela me fait arriver jusqu'à ceux d'aconit de mes deuxième année dont quelques-uns mériteraient d'être réempotés un peu mieux que ça. Et si l'idée de les laisser en l'état jusqu'au prochain cours des élèves concernés pour qu'ils s'en occupent eux même, je me rend compte que cela pourrait être un peu trop tard pour sauver ces plants. Je lâche donc un soupir avant de me mettre à la tâche, bien que notant mentalement les élèves à réprimander la prochaine fois que je les aurais en cours.
J'ai presque fini de sauver les plants qui en avaient besoin quand une voix masculine qui me dit quelque chose sans que je ne la reconnaisse immédiatement pour autant m'interpelle par mon prénom. De quoi me faire immédiatement relever le regard vers le nouvel arrivant dans mes serres, tombant alors sur un visage familier. Enfin, pas totalement non plus, me rappelant de l'adolescent qu'il était lorsque nous étions élèves dans ce même château et non pas professeurs, dans la même maison mais n'appartenant pas aux mêmes promotions pour autant. J'ai quelques souvenirs de lui, bien qu'assez vagues, et je crois me rappeler de son nom de famille mais j'avoue buter sur son prénom.
- Non, je t'en prie.
L'invite-je pourtant à rester quand il me demande s'il me dérange, un sourire s'étant déjà dessiné sur mon visage. Je l'aurais bien aussi inviter d'un geste de la main à s'avancer dans la serre mais j'ai encore les mains occupées alors… Je finis malgré tout par laisser retomber mon regard sur le dernier des plants à réempoter plus proprement alors qu'il reprend déjà la parole, me rappelant aussi bien son prénom - et tant mieux pour le coup, je l'avoue - ainsi que son embauche toute récente.
- J'ai appris ça, oui. Professeur de potions, c'est bien ça ?
Réponds-je simplement en terminant ma tâche. Chose qui ne me prend que quelques secondes avant que je puisse enfin sortir ma baguette et utiliser de manière informulée le sortilège de Récurvite. Moi et ma manie de toujours être aussi impeccable que possible… Mais cela ne m'empêche pas de relever une nouvelle fois le regard vers Aberthol, retrouvant également mon sourire.
- Ravie de te revoir Aberthol. Et bienvenue parmi nous.
Pour le coup, je suis presque sincère. Cela changera de la plupart de ce que je raconte à mes autres collègues. Mais la plupart de mes autres collègues ne sont pas issus de la même maison que Ó Mordha et moi. Et je ne parle même pas des idéologies qui sont les miennes mais que je prends bien soin de cacher ici. D'autant plus que même si nous avons des points communs lui et moi, je ne suis pas certaine des siennes, d'idéologies, et encore moins de son allégeance. Alors autant ne pas faire de vagues, même si je suis quand même sincère sur le fait d'être ravie de le revoir et de lui souhaiter la bienvenue. J'en profite quand même, maintenant que je n'ai plus les mains maculées de terreau, pour lui serrer la main qu'il me tend.
- Ce ne doit pas être évident de nous rejoindre en cours d'année. Tu arrives à prendre tes marques ?
Là encore, je m'étonne presque moi-même à m'intéresser sincèrement à sa réponse, et pas simplement pour continuer avec ma couverture de femme ouverte et sympathique. Mais d'un autre côté, entre anciens Serpentard, autant se serrer les coudes, non ? Alors si je peux être utile d'une manière ou d'une autre à la nouvelle recrue de l'équipe pédagogique de Poudlard, autant le faire. En plus de rendre service à un ancien camarade de la maison vert et argent, cela ne fera que renforcer encore un peu plus l'image que je fais en sorte d'avoir ici.
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