a shot in the heart does'nt make it unbreak (niall)



 
game night.
avril 1985. Un match de football moldu est organisé, on y attend tout le gratin du gouverment ! Inquiet, le ministère de la magie s'invite pour lutter contre les mangemorts prêts à attaquer. Lentement mais sûrement les tensions grimpent, l'ordre veille ; on se demande qui va attaquer en premier.
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glow in the dark est un forum basé sur l'univers d'harry potter. Les personnages des romans sont jouables. attention l'histoire se déroule dans les années 80. En cas de question n'hésitez pas à consulter les admins Sirius Black ou Cordelia Nott. Bon jeu parmi nous.

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Walden Macnair
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Walden Macnair
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âge : trente-quatre ans au compteur; enfant d'été qui pointe le bout de son nez, du 27 juin ((1950)), au beau milieu d'un quartier moldu qui ne paye pas de mine (( hackney)).
emploi : des années à grapiller tout ce qui tombait sous la main à droite et à gauche, à amasser des mi-temps; depuis quelques années, porte du ministère s'est ouverte, désormais employé à la commission d'examen des créatures dangereuses, même si place ne fait pas rêver.
statut civil : célibataire; parce que y en a qu'un dans l'esprit, dans le cœur. que pour le bien de tout le monde, il a mieux valu lui mentir, se mentir. a passé sa chance de toute manière, parce que tout s'est cassé la gueule en l'espace d'un instant, sans même l'avoir vu venir.
statut de sang : moitié bâtard d'après certains; mère aux origines un peu douteuses mais magie y est pourtant bien présente, géniteur moldu qui ne veut rien savoir du monde qu'il peut côtoyer.
études : sept ans en angleterre; sept ans dans le château qu'est plus accueillant que l’appartement familial ((poudlard)); deuxième chambre qu'est devenue dans les dortoirs de serpentard.
adresse : chemin de traverse, n°26, tout en haut de la floppée d'appartements du bâtiment; pièces partagées avec un colocataire, on pourrait rêver de bien mieux mais tant que toit est au-dessus de la tête, c'est le principal.
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(#) Mer 17 Avr - 23:35    a shot in the heart does'nt make it unbreak (niall)

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tw : langage cru, mention de maltraitance infantile

n’en avais pas fini avec ces pitiponks. non seulement avais dû courir après pendant ce qui avait semblé être des heures, dans la boue, sous la drache. voilà maintenant qu’on te demandait de les apporter à une réserve, pour qu’ils puissent y vivre des jours paisibles apparemment, après avoir ruiné la vie d’on ne savait combien de personnes. au moins n’aurais plus à en entendre parler une fois que ce serait fait. sauf que rendez-vous était calé en fin d’après-midi, pour bien laissez le temps à ces deux créatures de foutre le chambard dans la cage qui leur avait été assignée, cassaient plus que les burnes, à essayer de s’en prendre vainement aux protections magiques qui pouvaient les entourer.

t’étais jeté sur la première affaire qui avait pu arriver, histoire de te dégager de tout ce boucan, sans vraiment faire attention au fait qu’il s’agissait d’une histoire de permis non délivré sur une acquisition de fléreur. fallait bien évidemment que tu tombes sur une vieille qui t’avais causé pendant des heures, essayé de te persuader que c’était un bête chat, alors que ses oreilles et queue le trahissait au premier coup d’œil. même toi qui étais loin d’être fan de ces sales bêtes, pouvait le voir facilement. discussion de sourds qui avait tout bonnement finit sur une demande de ta part pour qu’elle se présente au ministère d’ici quelques jours avec son sale matou, te démerderais pour que ce soit quelqu’un d’autre qui la reçoive et qui ne lui fasse passer l’entretien. pas envie de te la coltiner plus que nécessaire, d’autant plus maintenant que t’avais à moitié pu cerner le spécimen.

préfères même encore retourner au bureau avec les deux créatures biens trop bruyantes pour leur apparence. essayent peut-être de se rendre insupportable pour que vous les relâchiez, ne devrait plus tarder, ou en tout cas, ça ne serait plus ton problème et tu pourrais peut-être bien finir ta journée un peu plus tranquillement. quoique, préférais ne pas être trop optimiste, c’était juste bon pour être déçu une nouvelle fois. n’attends pas plus longtemps pour prendre les deux cages, transplaner en leur compagnie, tout droit jusqu’au pays de galles. première fois que t’y mettais les pieds depuis que t’étais au ministère. sais pas trop où tu dois aller, parce qu’au premier abord y a pas grand-monde, doivent tous être occupés à l’heure qu’il était, fallait espérer qu’ils soient pas tous partis à l’extérieur. devaient sans doute être dispersés dans les enclos, à s’occuper des différentes créatures. pourtant ministère devait avoir convenu d’un rendez-vous avec eux. restes planté près de l’entrée quelques secondes, alors que ça s’agite dans une des cages, que semblant de bras continue de tirer régulièrement sur une des jambes de ton pantalon, vrillant bien trop avec les limites de ta patience qui avaient été bien trop testées ces dernières heures. coup de talon contre les barreaux calme momentanément les protestations, décides de t’avancer sur un des sentiers encore boueux de la veille, finirait certainement par tomber sur quelqu’un au détour d’un chemin.

silence se ferait presque trop agréable, quand au loin une silhouette se dessine près d’un enclos. hésiterais presque à faire demi-tour, histoire de profiter encore un peu, mais finalement, envie de se débarrasser des deux créatures encore sur les bras se fait plus forte, aurais l’occasion de te perdre dans la réserve dès qu’ils seraient entre d’autres (meilleures) mains. mètres sont rapidement franchis, alors qu’esprit a l’air de vouloir mettre en garde contre quelque chose alors que tignasse brune ressort de plus en plus dans la ligne de mire.
« —d’solé j’sais pas si c’à vous que j’dois les confier mais y avait pers-» phrase suspendue alors que cette affreuse impression s’intensifiait, penchait dangereusement vers une certitude alors que l’interlocuteur se retournait, qu’iris ambrés se dessinaient plus exactement. si semblant de fantômes se trouvaient dans les cages, c’en était bien un véritable, juste en face. instinctivement, la poigne se resserre sur les anses en fer, reste des muscles ne tardent pas à se tendre à leur tour alors que souvenirs affluaient. tous ; en même temps. comme si mémoire n’avait attendu que ça, de le revoir, même une fraction de seconde, pour rouvrir toutes les valves, submerger du passé, tout ce que tu t’étais évertué à repousser le plus loin possible en tentant de te faire une raison. parce que c’était bien ce vide, ce silence qui finissaient par trôner. ces mois à essayer de le contacter, déjà à trépigner en le sachant de l’autre côté de la manche, avant que les hiboux ne cessent, que ne disparaisse de la circulation en un claquement de doigts, n’arrache et ne brise le cœur par la même occasion. cœur qui se resserre jusqu’à blesser, donner l’impression de suffoquer. c’était pas un simple employé de la réserve qui se tenait là.

c’était niall.

croix dessus depuis des années, avais tenté tout du moins, alors qu’une partie de l’esprit n’avait pas pu s’empêcher de le penser six pieds sous terre, parce que c’était ce qu’il y avait eu de plus plausible pour que les échanges, l’amitié fusionnelle ne se termine de cette manière. mais l’est bien là, en chair et en os, l’est bien là, yeux rivés dans les tiens, qui ne flanchent en rien. ne le font plus depuis trop d’année, depuis la raclée de trop. ça gronde dans les entrailles, annonce tout sauf quelque chose de bon.
« —qu’est-c’tu fous là ? » totalement sur la défensive, à essayer de garder peu de fierté qui pouvait rester dans un coin, à vouloir refuser de montrer que ça avait pu blesser, que ça continuait ; alors que phalanges blanchissaient encore et toujours contre le fer, à force de l’enserrer.
« —qu’est-c’tu fous ici ? précisé un peu trop rapidement. impensable d’une part qu’il coupe tout contact, d’une autre qu’il puisse revenir en angleterre sans même penser à te prévenir, à venir te le dire. iris qu’ont du mal à se détacher de lui, à analyser les traits, tout ce qui avait pu changer ces dernières années, persuadé qu’ils étaient plus tirés, d’y trouver une fatigue que tu ne lui connaissais pas, et détestais ça, d’y voir à moitié un inconnu.

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Niallán Ó Téacháin
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emploi : soigneur animalier ( pour le parc naturel ) ; un genre d'imposteur qui a passé presque huit ans en tant que langue-de-plomb qui est incapable d'y retourner.
statut civil : célibataire à la cuirasse dorée, un fantôme dans les pattes quand il cherche à passer du temps avec quelqu'un, des regrets qui voilent la raison.
statut de sang : du sang-mêlé à l'image d'une potion mal touillée, il ne connaît pas le géniteur qui s'est barré quand il a découvert la supercherie
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(#) Jeu 18 Avr - 19:43    Re: a shot in the heart does'nt make it unbreak (niall)

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tw : langage cru, gros mots et bestioles magiques qui font peur.

aime beaucoup s'occuper des serpencendres ; il apprécie de passer des heures au coin du feu, à attendre qu'ils viennent ou ne viennent pas, se sentent sufisamment en confiance pour s'extirper des flammes qu'il laisse volontairement à peine sans surveillance, et les voir rejoindre le petit bois marécageux en scintillant sous la lumière du crépuscule.
& c'est d'autant plus facile en fin d'après-midi, quand le soleil a passé le zénith parce qu'en hiver il est impossible de rester dans la lumière naturelle trop longtemps ; de les remarquer, serpentant hors des flammes, leur teint grisâtre et leurs yeux incandescents repérables depuis l'autre côté de la basse clairière dans laquelle il s'abrite pour les attendre.
doit récupérer quelques oeufs, ce soir, pour qu'ils soient rapidement mis en couveuse, qu'ils soient étudiés ou recréés, peu lui importe en fait il ne s'y intéresse pas vraiment ; ne veut plus s'intéresser à ce genre de trucs, par principe.

il en a mis deux ou trois sous sortilège de protection, au bout d'une heure seulement ; et jette un coup d'œil au parchemin des tâches, plutôt content de lui.
n'a pas l'intention de rester trop, mais il lance un regard à la montre et voit qu'il a largement le temps de passer regarder si les clabberts n'avaient pas eu de problème dans la journée, sachant très bien que personne n'y était encore allé aujourd'hui comme ils avaient tendance à se débrouiller tout seul pour manger, choppant les lézards ci-et-là.

& il ne lui faut que quelques mètres pour trouver l'enclos, s'approcher à peine de la grille que déjà un d'eux clignote comme un signal d'alarme, lui arrache un soupir et lui fait retrousser ses manches en se demandant bien quel genre de danger pouvait ressentir un bestiau coincé dans un parc naturel, qui plus est dans un enclos scellé magiquement qui ne risquait, à tout hasard, de ne faire entrer qu'un croup ou deux ayant égaré leur propriétaire ( bien qu'il se gardait bien de faire le moindre commentaire là-dessus aux scamander qui avaient envahi l'endroit depuis trop de siècles pour être comptés ).

ne sort même pas sa baguette, a l'impression qu'à chaque fois les animaux se sentent menacés quand ils l'aperçoivent.
( & a aussi l'impression que, ce bout de bois dans sa main est étranger, qu'il ne répond plus comme il l'aurait fait auparavant, qu'il s'est détaché de loin, vexé, boudeur parce qu'il n'a pas du en prendre soin, n'a pas pu l'utiliser pendant tellement de temps que des fois la magie menace d'un trop-plein qu'il n'aime pas du tout. )

l'impression que les animaux regardent derrière lui, et même pas le temps de se retourner qu'une voix le surprend, lui fait acter un demi-tour rapide figé dans l'élan quand la silhouette semble un peu trop familière.

associe la voix à l'image alors qu'il l'a à peine entendue, s'est pas focalisée sur les mots mais sur le timbre ; ne sait pas de quoi il parle, ne regarde même pas ce qu'il a dans les mains tant il se fait happer par les yeux, les courbes, la silhouette et les traits tirés ; par la surprise de le voir là, de voir que c'est walden qui se pointe devant lui, l'air de rien, comme si l'univers avait décidé de préméditer sa fin.

& la putain de culpabilité, à l'instant même où il commence à redétailler son visage. il doit avoir l'air d'un fantôme, ou d'un connard, au choix, lui qui n'avait pas donné de nouvelles, plus donné de nouvelles depuis quelques années, il avait surement donné l'impression de s'être barré comme un voleur, de ne pas avoir pensé à lui, d'avoir rompu toutes les liens brutalement alors qu'il est juste un putain d'abruti avec un cœur égoïste qui n'avait même pas le courage d'aller balancer la vérité, qui a préféré se terrer comme un rat mort au milieu des bestioles, soupçonnant même pas que c'était la pire idée du monde.

gémit parce que'il n'arrive même pas à prononcer le nom. il trouverait ça complètement stupide de toute façon, a juste la putain d'impression que toutes les lettres se font fait bouffer dans l'enclos des goules.
& a l'impression aussi de se faire incendier quand la question est répétée presque deux fois à l'identique mais il arrive pas à lâcher ses yeux, ses putain d'yeux ; alors qu'il se permet même pas de flancher, de passer une main dans ses cheveux ou même d'exprimer la moindre gêne. l'impression d'avoir déjà fait un peu trop de dégats, et qu'il y aura jamais de bon moment pour les réparer.
& même pas capable de s'dire foutu pour foutu, parce qu'il aimerait pas que ce soit foutu.

niall voudrait pas trop parler, mais sait bien qu'il faudra bafouiller un truc quand même. se laisse un peu de temps, trop de temps même qui lui semble fourmiller entre ses doigts alors qu'il sent déjà que tout ce qu'il aura à dire suffira pas.

j'suis désolé qu'ça ai mis si longtemps alors qu'il aurait jamais voulu commencer par j'suis désolé. se trouve même pas vraiment clair ; bafouille des conneries comme initialement même pas prévu, mais est pas capable de balancer ni la vérité ni la culpabilité.

j'ai avorté parce qu'il trouve pas les mots, sait même pas dire pourquoi il est là alors qu'il voudrait disparaître sous terre, est en train de rougir comme une putain d'adolescente alors qu'il attend ; qu'il darde son regard sur lui pour essayer de comprendre pourquoi d'un coup ils se retrouvent là à deux. descend les yeux sur la cage, les phalanges blanchies par la tension. j'peux prendre les pitiponks. hésite. si c'est d'la colère qui te vient en premier, c'est justifié. & le j'suis un connard manqué parce qu'il arrive même pas à le prononcer à voix haute. mélange tous les mots, toutes les émotions.

j'travaille là, enfin... d'puis pas trop de temps. ne veut pas blesser, ne veut pas donner l'impression qu'il y a une nouvelle partie de vie sans lui ; mais en même temps n'a que la vérité dans la tête, se sent juste pas trop capable de lui faire comprendre comment et pourquoi.

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statut civil : célibataire; parce que y en a qu'un dans l'esprit, dans le cœur. que pour le bien de tout le monde, il a mieux valu lui mentir, se mentir. a passé sa chance de toute manière, parce que tout s'est cassé la gueule en l'espace d'un instant, sans même l'avoir vu venir.
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(#) Ven 19 Avr - 19:03    Re: a shot in the heart does'nt make it unbreak (niall)

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tw : langage cru, mention de maltraitance animale

cherchais juste à faire ton travail sans emmerde, comme à chaque fois depuis que t’avais pu intégrer le ministère. des goûts de dernière chance dans le poste, étais loin d’être un tire-au-flanc, avais juste tendance à laisser l’impatience prendre trop le dessus, à faire comprendre quand quelque chose ne plaisait pas. avais bien dû te calmer depuis quelques mois, quelques années, avais muselé cette rage, foutue dans un coin bien loin, à ne la faire sortir que lors des missions des autres tarés. et encore. depuis la mort de nora, plus rien n’avait vraiment l’air d’avoir du sens, t’étais habitué à te battre pour elle, à gagner en grande partie des mornilles pour pouvoir subvenir à ses soins, à sa nourriture. le fait que ce soit réduit à t’avoir un toit au-dessus de la gueule et à des dettes, ça n’avait plus trop rien d’un quelconque sens.

pas certain que revoir niall en redonnerait un. pas de cette manière en tout cas. pas sans explication, à vous retrouver les bras ballants autant l’un que l’autre, la même surprise dans le regard. parce qu’aucun des deux n’avait vraiment été qualifié pour ce métier. lui à la base au ministère, toi à accumuler tout ce qui pouvait passer, parce que y avait rien de mirobolant dans les notes.

des années que tu n’avais plus pu l’observer, pourtant grande partie de lui semblait encore familière, mais il n’y avait bien que le physique que tu pouvais encore (re)connaître. foule de questions qui se presse au bout des lèvres, mais y en a qu’une qui sort, celle de savoir ce qu’il faisait là, ici, en angleterre. depuis quand il avait pu retourner au pays ? craignais la réponse, qu’il se soit trouvé et forgé une autre vie, loin de l’ancienne, loin de toi. secondes paraîssent des heures alors que rien ne sort de son côté, alors que la blessure se rouvre de plus en plus au fil des respirations.

et au final ; ce sont des excuses qui tombent. pas la moindre explication, comme si un « désolé » allait pouvoir effacer et combler toutes ces années. comme si un désolé pourrait réparer les sentiments piétinés, jetés. te rends pas tout de suite compte de la chaleur procurée par les excuses, chaleur qui n’avait rien d’agréable, ni même de réconfortant.
« —t’désolé ? » phalanges se resserrent encore plus alors que le ton manque de vriller. il était désolé. partagé entre le fait de prendre ça comme des excuses ou du foutage de gueule, peut-être trop sur les nerfs depuis ces derniers mois, tendance à tout voir en noir, depuis ces dernières années.
« —l’pitiponks ? » voix blanche au premier abord, en répétant à nouveau en question, parce que ne comprenais pas ce qu’il voulait, avec ces maudites créatures.
« —mais qu’est-ce qu’on s’en branle d’pitiponks ? » était bien la dernière chose qui t’importait directement, leur sort, alors que niall se retrouvait en face de toi, qu’il aurait pu, (dû ?), s’expliquer, qu’il aurait pu dire pourquoi il avait si longtemps disparu de la circulation, pourquoi avait décidé de te rayer de sa vie sans la moindre prévention. furie intérieur donne l’impression de s’embraser, alors que, plutôt que de parler de lui, de vous, il se concentre sur ces putains de pitiponks.
« —t’sais quoi ? allez tous, tous vous faire foutre. t’veux les prendre les pitiponks ? » n’avais jamais autant prononcé le mot pitiponks de ta vie, mais semblait la seule chose à se raccrocher là tout de suite, la seule chose que tu (re)connaissais, qui ironiquement ne partirait pas en écran de fumée pour revenir des années plus tard sans la moindre explication, du jour au lendemain.
« —bah tiens v’la tes pitiponks d’merde. » balances les cages bien moins gracieusement, précautionneusement qu’il n’aurait fallu, évidemment que y en a un qui se met à protester, aucune scrupule à ramener moldus et sorciers au fins fonds de marécage, à peine bousculé que ça en faisait tout un foin.
« —oh ta gueule hein. » à l’attention de la créature qui a l’air de se racrapoter dans un coin, à chercher à se coller aux jambes de niall, même cette connerie avait droit à plus de réconfort du brun que toi.

brun qui donne l’impression d’en rajouter une couche en parlant de ce nouveau travail, conversation a des airs lunaires, comprends pas comment c’en est arrivé là, encore un peu pourrait penser être à côté de la machine à café à écouter caqueter dernières nouvelles du personnel au ministère.
« —super, t’veux qu’on s’prenne un verre pour fêter ça ? » pas un adepte de l’ironie, n’avais même pas l’impression de l’avoir déjà utilisée, à croire que c’était le bout du bout.
« —t’veux qu’on oublie c’qui s’est passé d’puis qu’tu t’es cassé ? » à l’autre bout du monde, du moins ce qui avait semblé l’être, dans des abysses, quand il avait finit par ne plus répondre à aucun message, quand avait comme disparu de la surface de la terre pour une raison qui t’échappais, que tu crevais d’envie de savoir comme tu pouvais la craindre.
« —bah va au bar, prend deux verres et fourre toi l’mien bien profond. j’te l’aurais bien avancé mais j’plus un putain d’rond. » ne sais même pas pourquoi tu lui dis ça, pourquoi évoquer trou sans fond qu’avaient pu devenir médicaments et soins totalement vains pour ta mère, sans parler des impayés de l’appartement loué par les deux aînés. y a le tout qui bouillonne, qu’arrive pas à se calmer peu importe où tu pouvais regarder ; lumière du clabbert restait collée dans le coin de la rétine, tape bien trop sur les nerfs.
« —et il va arrêter d’clignoter le macaque ?? » bien évidemment que non, cadence de l’éclairage de la pustule ne fait que s’accélérer depuis qu’il a compris que tu t’adressais directement à lui. besoin d’évacuer, es parfaitement trop incapable de diriger physiquement cette rage vers niall, juste bon à laisser passer les insultes, à shooter dans l’enclos des clabberts qui commencent tous à paniquer, bonne partie retourne dans les arbres, donnant un air de sapin noël à ce pauvre chêne quand ils se retrouvent tous presque sur les mêmes branches à scintiller en cœur. y en a un plus courageux que les autres, daignes s’aventurer au bord de l’arbre pour lancer un truc vers vous, vraisemblablement un gland arraché à la pauvre branche, sait même pas correctement viser, fruit retomber presque mollement entre vous.
« —j’me casse. » avais au moins la décence de prévenir. as pourtant du mal à tourner les talons, n’arrives même pas à savoir pourquoi c’était si compliqué, et quand fourres les mains dans les poches, y a bout de parchemin qui se rappelle à ton bon vouloir, qui fait soupirer.
« —faut qu’tu signes ça. » un minimum de conscience professionnelle, voulais pas qu’on te renvoie ici dans dix minutes, devoir retrouver la vieille gueule des clabberts et autres joyeusetés, devoir expliquer pourquoi t’étais parti sans le papier à quelqu’un d’autre de la réserve, potentiellement. voulais pas non plus qu’on t’accuses de l’autre côté de mal faire ton travail, que ça finisse par se retourner contre toi.
« —et c’pas d’la colère qui m’vient en premier. »

ah.

si tu le disais ; le prétendais pour ne pas lui donner raison, pour ne pas lui donner l’impression qu’il pouvait encore connaître par cœur le caractère, la personnalité, voir que t’avais pas franchement changé, là où t’avais encore moitié d’impression de voir un étranger, de déranger dans sa nouvelle vie dont tu ne connaissais absolument rien, si ce n’était que t’avais pas l’air d’être une des pièces de son puzzle. lui tends le bout de papier totalement chiffonné, du bout des doigts, ressassant mentalement que devais essayer de paraître le moins en colère possible. pas gagné pour un sou, n’avais jamais été doué, pour faire semblant, ça se lisait, s’imprégnait sur la gueule toute cette rancune, cage thoracique se soulevait bien trop rapidement que pour pouvoir prétendre à un semblant de quelconque calme dans les veines.

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(#) Sam 20 Avr - 18:26    Re: a shot in the heart does'nt make it unbreak (niall)

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tw : langage cru, beaucoup de gros mots et bestioles magiques qui font peur.

plus l'air d'un con qu'autre chose, n'avait absolument pas prévu de te retrouver devant lui et avait même du mal à piger ce qu'il pouvait faire là, avec une cage dans la main, à le regarder comme si il était un ovni. walden avait juste eu l'air un peu surpris, au début, puis hargneux déjà, et niall qui sait pas quoi dire, pas quoi faire, qui à aucun moment ne s'était vraiment préparé à y faire face.
& qui s'en veut, s'en veut incroybalement d'avoir fait l'autruche pendant autant de temps, de pas avoir été capable de venir donner des explications. aucun doute sur le fait qu'à cet instant précis, il ne peut vraiment s'en prendre qu'à lui-même ; que c'est p't'être même trop tard.

sait à l'instant même où les mots j'suis désolé sont balancés que c'était pas du tout la chose à dire, que ça n'a rien des vraies excuses que pourrait réclamer walden ; que putain de bordel de merde il doit tellement passer pour un connard à cet instant précis, à ses yeux, qu'il doit vraiment avoir l'air de l'avoir oublié, foutu de côté, d'avoir juste coupé les ponts parce que... il en avait marre, ou quelconque autre connerie qui ferait bien l'affaire ; parce qu'à ce stade là, il se doutait bien les milliers de choses que l'autre aurait pu imaginer.
& elles ont sûrement un goût amer, âpre en bouche, le goput de la putain de trahison de leur amitié ; et qu'il le sait déjà parce qu'elles doivent être à peu près identiques à toutes celles que lui a pu avoir eu le temps d'imaginer une fois collé entre quatre murs, isolé du monde.

la réponse qui se fait cinglante, ses mots qui sonnent encore plus stupides une fois qu'ils sont répétés par lui. & niall qui arrive même pas à contredire, reste là les bras ballants alors qu'il devrait dire un putain de truc intelligent pour une fois, avait surement habitué walden à beaucoup plus de sympathie, de répartie.
& a manqué le coche une deuxième fois, quand la colère monte chez l'interlocuteur et qu'il se rend compte que c'était pas la chose à faire non plus. c'était pas... pas terminé, quand il balance qu'on s'en branle des pitiponks ; c'était pas quoi ? pas ce qu'il voulait dire ?

râle même pas, quand le coup de colère lui fait balancer les cages plus loin, grimace à peine aux protestations des bestioles qui se mettent immédiatement à protester, se prennent encore une insulte.
& range le geste avorté, se contente de pousser du pied le pitiponk ; il aurait voulu tendre la main pour l'empêcher de se mettre trop en rogne contre lui, il aurait voulu l'empêcher de commencer à s'en prendre à la terre entière comme il sait si bien le faire d'ordinaire, mais il reste en retrait parce qu'il veut pas lui donner encore du grain à moudre alors qu'il a dit assez de conneries comme ça.
alors que le pitiponk continue d'essayer de se sauver de la colère de walden, se colle dans ses pattes alors que le soigneur préfère ne pas détourner son attention du compagnon. ça attendrait bien, tant que personne vient voir ce qu'il est en train de faire. croise même bien les doigts pour que rhea soit occupée bien ailleurs, sachant que c'était la plus imprévisible et que s'il y avait bien une personne qui pourrait apparaître au milieu de ce... foutoir, ce serait elle.

ne relève rien du tout, ne fait pas de remarque, pas de commentaire alors que la seule chose qui lui viendrait à l'esprit pour une fois est l'ironie, l'ironie de ces pauvres bestioles qui prennent les coup à la place des autres, qui se font le bouc-émissaire d'une conversation qu'ils ont finalement peut-être pas envie d'avoir ni l'un ni l'autre, tant walden déporte son attention là-dessus, même si c'est lui qui l'a initié.

& le mot travail qui déclenche un nouvel ouragan, lui donne l'impression d'avoir tendu le bâton une fois de trop quand la colère monte encore, plus abrupte encore cete fois, plus vulgaire aussi et que niall s'empêche de lever les yeux vers le ciel tellement sa réaction défensive est stupide à cet instant.
tu déformes. lancé en réaction, bien conscient que commencer chaque phrase par tu lui donnerait l'impression qu'il est en train de l'aggresser. mais quand l'autre enchaîne avec les insultes, ou les questions rhétoriques, il se sent obligé de respirer par accoups, deux, trois fois tant il lui coupe l'air.
walden qui doit être beaucoup trop en colère pour en venir à ce point aux insultes, que niall reste quelques secondes le regard à la limite de se brouiller au noir tellement il a l'impression que tout d'un coup, c'est trop.
t'es en train de pêter les plombs... qu'il devrait dire, mais se contente d'un : oui, bien sûr, voyons. c'est parfaitement ce que j'ai suggéré. on voit que tu me connais parfaitement bien. surmonté d'un haussement de sourcils, la voix un peu trop instable pour que le mépris de se faire insulter de la sorte ne puisse transpercer.
&& même les clabberts sont capables de percevoir que y'a rien qui va dans cette putain de situation, qui continue à clignoter, se prennent les foutres de l'autre serpentard, font la guirlande dans les arbres dans ton dos, vu le vacarme, quand un gland atterit entre-eux ; fait redescendre un peu la tension alors que niall aurait voulu ne jamais s'énerver contre lui.
& bien sûr que c'est mérité, qu'il n'y a rien de plus mérité que de se faire entendre dire qu'il devrait aller bien se faire foutre maintenant. s'en doutait un peu, beaucoup, que ce genre de réaction était tout à fait plausible, pour walden. qu'il a toujours eu du mal à ne pas répondre par la colère, se laisse déborder par cette émotion bien trop facile à appliquer sur tout et contre tout.
& comprend aussi sa détresse, quand il termine sur lui ; sur les dettes, sur la misère, sur la galère à s'occuper des autres quand on est soi-même déjà pas hyper stable ; parce que depuis le temps, niall n'a pas oublié, et que depuis le début de cette conversation, on parle que de lui, de pourquoi il était pas là, de ses conneries et de ce qu'il aurait dû faire ou pas faire. mais on parle même pas de walden, alors qu'ils étaient deux dans cette histoire.

j'suis égoïste ; laisse filer un peu les secondes, le laisse redescendre et observer, se trouve peut. unj'me casse qui froisse son cœur comme une boule de papier déchiré.

quand il fourre la main dans sa poche, croit qu'il veut prendre sa baguette pour lui refaire le portrait avant de partir, ou juste qu'il veut transplanner.
& niall qui le retient par le bras, se rappelle même pas d'avoir comblé l'espace entre eux, se rappelle même pas d'avoir fait marcher ses jambres, se rappelle même pas d'avoir été assez stupide pour se dire que se rapprocher autant de lui était une bonne idée.
nan, s'il te plaît. contré par un faut qu'tu signes ça, le bout de papier tendu de l'autre main, celle qu'est pas retenue, et le niall qui baisse les yeux dessus, laisse tomber cette histoire de pitiponk pour pas remettre de l'eau dans le bain des veracrasses, vraiment, c'est pas la peine. ne lui signerait pas, de toute façon, parce qu'il a terriblement pas envie qu'il parte comme ça.

écoute, je suis un connard. je sais, t'es en putain de colère contre moi. mais arrête de le passer sur la terre entière alors que c'est moi ton problème. calme, parce que sait pas faire autrement. juste le myocarde qui bat à cent à l'heure, qui se demande comment il va être reçu.

je...
sauf que, ça bloque. ça bloque dans sa putain de poitrine. préfère être vu comme un égoïste, préfère être vu comme un connard quelque part que d'assumer la moindre de ses conneries, de lui avouer des trucs qui cette fois lui feraient encore tourner les talons, lui dire un truc du genre tu m'dégoutes ou tout ce que son putain de cerveau a eu le temps d'imaginer depuis la dernière fois qu'il a vu ces yeux-là le regarder.
je. j'ai eu des problèmes. marque une pause involontairement, cherche l'autre du regard pour essayer de lui faire comprendre que le moindre mot de cette putain de phrase est déjà difficile. j'ai eu des problèmes. des trucs qui, je te le jure, te concernent en rien et que j'suis absolument pas prêt à mettre sur la table.

se sent coupable, l'est ; mais terriblement dérangé par tout ça && p't'être qu'il le verra dans ses yeux, p't'être qu'il le verra dans sa capitulation, p't'être qu'il le verra pas du tout sinon. l'impression qu'il y a un gouffre au fond, qu'il ne cesse jamais de tomber dedans et qu'il voudrait pas y emmener walden. s'acharne tellement à se tenir à carreaux depuis qu'il est là qu'il voudrait pas tout foutre en l'air alors que l'univers vient de lui mettre sa vieille vie dans les pattes.

il essaie de pas le lâcher, de le garder là maintenant qu'il le tient, de lui faire comprendre que c'est juste pas comme ça qu'il l'avait prévu. j'ai pas la prétention de te faire oublier c'qui s'est passé depuis que je me suis cassé walden, putain, c'est juste... je pouvais pas, j'voulais, mais j'étais... empêché de le faire, tu comprends ?! y'a des conneries des fois qui font qu'on a pas le choix de tout dans cette putain de vie. le lâche rageusement sans l'avoir prémédité, parce qu'il est en colère contre lui-même cette fois ; parce qu'il est juste un abruti qui aurait trois mots à aligner pour jstifier la moindre seconde passée loin de lui ; sans lui donner les détails, sans lui dire tout, sans même avouer que chaque putain de nuit de sa vie est bourrée de regrets. en fait, tu sais quoi ? t'as surement pas envie d'écouter. je comprends, vas-y. c'est bon. de toute façon, je trouverais absolument rien de plus qui te donne envie de rester, et si j'ai des excuses à te faire, je crois que t'as pas envie de les entendre. et puis, d'ailleurs, se rend compte que ça le regarderait même pas tant que lui-même en a pas décidé.

vas-y. barre toi. ou frappe moi, j'sais pas. je l'ai probablement bien mérité de toute façon. baisse les yeux, pour la défaite. a toujours un peu la hargne, après avoir encaissé, mais n'a plus vraiment de problème à comprendre qu'il l'a toujours un peu mérité, que s'il avait fait ça mieux, encore une fois, il n'en serait pas là.

& l'reste, qui reste bloqué. il en a déjà bien trop dit. aurait tant aimé rajouté que c'était inutile de dire que tu m'avais manqué parce que putain de bordel, ça sautait aux yeux.

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