irrational ( merwyn & persée )



 
game night.
avril 1985. Un match de football moldu est organisé, on y attend tout le gratin du gouverment ! Inquiet, le ministère de la magie s'invite pour lutter contre les mangemorts prêts à attaquer. Lentement mais sûrement les tensions grimpent, l'ordre veille ; on se demande qui va attaquer en premier.
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glow in the dark est un forum basé sur l'univers d'harry potter. Les personnages des romans sont jouables. attention l'histoire se déroule dans les années 80. En cas de question n'hésitez pas à consulter les admins Sirius Black ou Cordelia Nott. Bon jeu parmi nous.
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Persephone Slughorn
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âge : 5 mai fêté pendant trente-sept ans.
emploi : éditrice chez whizz hard books ; la passion transformée en gagne-pain. ( t'as toujours aimé dessiner et lire ) des situations prenantes ( chronophages ), qui laissent un goût amer sur les lèvres lorsque les journées s'allongent
statut civil : épouse et mère deux rayons de soleil issus d'une collaboration amicale ( forcée ; par vos deux familles ).
statut de sang : pur ; nul autre choix que celui de la noblesse ; une tare évitée à ses yeux.
études : au sous-sol où se forgent les pires desseins ; méfiante face aux drapés de velours verdâtres et aux vipères cloutées sur les murs ; poudlard, serpentard.
particularité magique : légilimens ; travail acharné contre l'esprit.
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(#) Mer 7 Fév - 17:58    irrational ( merwyn & persée )

irrational
@Merwyn Ó Mordha janvier 1985
( en parallèle de la soirée de patroclus et ozymandias # clic )

L'impression de se sentir à nue ; la baguette déposée à l'entrée.
Sorcière dépouillée de ses artifices, en faveur d'une soirée parfumée de champagne et de luxe.

Un trou de moindre mesure dans sa poitrine ; chaque fois que les enfants partent sans se retourner ; comme une promesse de ces prochains six mois durant lesquels elle s'abreuvera de la moindre marque d'affection, de la moindre tendresse qui pourrait remplir à raz-bord ce sentiment de perte qui menace.
[ Dans six mois ; ils passeront les portes de Poudlard. Arrachés à tes bras pour embrasser le savoir, l'idée longtemps réfrénée de les garder à la maison à tes côtés ; pour espérer en avoir un peu plus, garder dans cette bulle que tu as formée autour d'eux une forme de possessivité ; bonne sorcière mais mauvaise préceptrice lorsqu'il s'agit de ta propre chair. ]

& Le mari, disparu dans la foule ; vu quelque-part tourmenté par un hibou du ministère ; pensée amusante qu'elle s'empêche d'aller quérir. Probablement une mission dont elle ne s'inquiétera que demain ; si tant est qu'elle arrive à déconnecter son esprit et à s'amuser de cette soirée qui n'aura sans doute qu'une saveur aigre.

La famille parfaite disloquée entre les connaissances de la grande parenté sorcière ;
& La douce Persée qui sirote son verre à peine arraché des mains d'un serveur fébrile.

Vous dansez Madame Slughorn ?
De toute évidence non. qu'elle répond, à peine irritée de l'intrusion dans son champ de vision ; ( juste alors que tu cherchais du regard les enfants, une impression de déjà-vu quand deux silhouettes t'ont contournée de plus ou moins loin pour se faufiler à l'autre bout de la salle ).
Vous devriez, parce que le champagne toute seule dès le début de la soirée... Si vous vous contentez de boire, vous allez tomber dans les travers de toutes ces bonnes femmes qui ont pas supporté d'être mariées à vingt-cinq ans. En plus, avec un mari comme le vôtre, faut se préparer à se remarier... un sourcil levé devant la remarque, bien lassée des commentaires de celui qu'elle a reconnu comme un Parkinson un peu trop envahissant ; et pour lequel sa baguette aurait sans doute trouvé bon nombre de sorts injurieux à lancer.

[ Bien que tu ne saches remettre en question que vous vivez comme funambules sur le fil des Parques ; conjurant le métier d'auror d'Oz à vos convictions un peu plus personnelles. La crainte qui serre ta poitrine comme dans un étau sans fin ; sur lequel tu oses espérer que tes choix passés auront une influence positive. ]

Un rictus mi- amusé mi- hautain.
Vous insinuez avec désinvolture que je serais bientôt veuve et que vous êtes intéressé, Monsieur Parkinson.
Qui ne le serait pas, vous portez le parme et argent avec merveille ; ce qui, je vous prie de me croire sur parole, sont les couleurs privilégiées de l'emblème et notre famille et...
L'espace vital grignoté centimètre par centimètre, et le regard haineux dirigé vers le grossier individu ; oh bon sang, la prochaine soirée sera dédiée à jouer la jolie poupée aux côtés du mari si cela peut permettre d'éviter de telles sottises.

Circulez loin de ma vue, je vous prie Monsieur Parkinson. A chercher ainsi à boire les chaudrons déjà pleins, j'espère que vous finirez par vous cogner le nez contre le fond.
& Le pied de l'indigeste vainement écrasé sous son poids d'abeille alors qu'elle amorce son départ ; les enfants perdus du regard ; et le verre avalé d'un trait en cherchant toutes les excuses possibles à Merlin pour lui faire le déplaisir de commencer la soirée de ce mauvais pied.

Déposer les baguettes ; voilà une belle sottise.
( Tu aurais manifestement trouvé de quoi lui retourner le nez si tu avais eu l'occasion ; répugnant à utiliser d'autres facilités bien plus prohibées.
& Une belle leçon qui t'aurait sans doute valu le regard de l'assemblée. )

Dans sa course effrénée vers la fuite, un fantôme à la moue amusée qui se faufile ;
& Une main qui la saisit pour l'attirer dans la danse bon gré mal gré, l'odeur familière qui embrase le myocarde rouillé.

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plus aucune place pour les autres, l'amour profond tourné uniquement vers sa famille.  ( un désastre émotionnel ; sans aucune doute, tu ne sais donner qu'à l'excès à ces deux petits morceaux de toi - qui te rattachent à l'univers par un seul fil. ) ☽ persephone


Dernière édition par Persephone Slughorn le Mar 5 Mar - 17:04, édité 1 fois
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emploi : si carrière débutée dans le quidditch, aujourd'hui journaliste à la gazette du sorcier depuis près de neuf ans
statut civil : confortable et rassurant célibat qui n'empêche pas diverses aventures dans le but d'oublier un amour qui s'est mal terminé
statut de sang : entâché par la généalogie maternelle, sang-mêlé
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(#) Sam 17 Fév - 17:39    Re: irrational ( merwyn & persée )

irrational
@Persephone Slughorn janvier 1985

quête éternelle de quelques lignes capables de captiver les lecteurs de la gazette trouve souvent son apogée dans les méandres des soirées mondaines ta présence n’y est pas inhabituelle et n’a rien d’étrange, contact régulier avec quelques grosses têtes au lignage noble qui te permettent de te rendre là où tu le souhaites, en échange d'une plume élogieuse vantant leurs qualités d’hôtes, la splendeur des lieux. grande majorité de ces contacts partagent les mêmes idéaux que tu prétends te plier.

tu préfères souvent te tenir à carreau, du moins en public. bourbeux marais de politesses et sourires peu sincères, tu te fais discret et observateur comme à ton habitude.

verre qui t’aidait à supporter la vue de quelques invités que tu ne supportais pas ( sans raison particulière. n’as jamais eu de mal à détester quelqu’un par simple volonté d’être amer. ) finit par disparaître de ta vue. tu l’avais posé sur une table haute le moment d’ajuster ta chemise, et tu t’étais tourné juste à temps pour vaguement apercevoir deux turbulents mioches partir en courant, verre que tu supposes être le tien dans les mains d’un des deux, t’y prêtes peu attention mais te demandes qui a eu la fantastique idée d'amener ses chiards à cette soirée. qui sont encore les heureux imprudents qui ont eu la brillante idée de se reproduire. si soirée est sans baguette, fait auquel tu ne vois aucun problème, t’aurais préféré qu’elle soit également exempte enfants, tant qu’à faire. ce n’est pas comme s’il était vraiment possible de mourir de soif lors de ce genre d’événement, et tu trouves rapidement nouvelle chaussure à ton pied, compagnon liquide sur lequel tu comptes bien veiller cette fois.

jusqu’à ce que ton regard se pose sur une interaction qui t’aurait peu intéressé sur tu n’avais pas, sans peine, reconnu visage plus que familier, bien que pas forcément habitué à le voir déformé par un quelconque mécontentement. tu te tiens à une certaine distance, mais tentes quand même d’écouter la conversation qui ne te concerne aucunement- déformation professionnelle, si on te posait la question. tu ne ressens pas le besoin d’intervenir. persephone est assez grande pour gérer des situations pareilles, tu penses bien que ce n’est pas la première fois que quelque chose de similaire arrive.

tu préfères attendre le bon moment, attendre qu’elle s’éloigne de quelque pas pour la suivre, la guider dans la foule, vous y mêler avec quelques pas de danse machinale, une main dans son dos. “si même mariée, tu n’as pas la paix.. c’est à se demander si tout ça valait bien la peine.” taquinerie bien gentille et pas malveillante, t’es capable de bien pire et tu la sais familière avec ton occasionnel mordant, depuis le temps que vous vous connaissiez. “je ne te ferai pas l’affront de te demander où est passé ton cher et tendre,” une bonne blague. “surtout si son absence me permet de te proposer une danse sans être regardé de travers parce que j’ai le malheur d’avoir une sang-de-bourbe pour génitrice. comment te portes-tu ?” tu lui demandes comme si vous ne vous croisiez pas régulièrement. “je ne sais pas toi, mais j'ai l'impression d'être quelques décennies en arrière, lors d'un certain bal de noël.” tu n'as pas masses de souvenirs très précis de ta scolarité, mais certains points ont indéniablement laissé leur empreinte dans ta mémoire.


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(#) Mar 5 Mar - 17:03    Re: irrational ( merwyn & persée )

irrational
@Merwyn Ó Mordha janvier 1985
( en parallèle de la soirée de patroclus et ozymandias # clic )

Sirène sans son chant séducteur ;
Une belle sottise que d'avoir déposé les baguettes à  l'entrée de la soirée tant il lui aurait semblé opportun de lancer au visage d'un Parkinson mal léché une fournée de petits oiseaux vengeurs.
Le poignet rouillé, tant il ne sert plus qu'à quelques missions par-ci par-là, quelques tâches ménagères ou quelques commodités de la vie courante ; ayant laissé derrière elle les années à Poudlard depuis trop longtemps, les rides sur son visage venant en témoigner.
& Tous ces sorts, appris après minuit, à demi plongée dans l'obscurité du dortoir promptement décoré d'or et d'argent ; délaissés pour une vie bien plus stable et calme, employés à la fortune bien plus aujourd'hui qu'à la tyrannie.

( Un autre endroit et un autre moment, que tu ne cesses parfois de ressasser la nuit ;
Teinté qu'aucun regrets, si ce n'est ceux de ne pas en avoir plus profité.
Des visages ennemis et amis, que tu croises parfois lors de ces soirées.
De belles années données aujourd'hui à tes enfants, aussi cher qu'il puisse t'en coûter ; c'est eux qui seront à ta place lorsque l'année se terminera.
Et c'est bien trop tôt. )

Pourtant ; c'est le fantôme du passé, nostalgique danseur qui l'attire près d'elle ;
Main mise sur l'ancienne dulcinée, tandis qu'elle tentait de fuir comme une furie l'objet de sa colère.
Une voix chargée du passé, qui lui arrache un sourire alors qu'elle frissonne au contact de ses doigts dans son dos.

L'une des ses allusions usuelles à son état de femme mariée pour démarrer la conversation - un air de déjà-vu dans le regard ;
Et la douce Persée qui lâche un rictus amusé, sa colère quittant doucement son berceau, alors qu'elle se laisse entraîner sur la musique, ravie de cette interruption bienvenue.

Il n'y a que dans ta tête que l'on te regarde de travers.
( Mensonge à peine dissimulé, tant vos sourires concordent sur le sarcasme ;
Connais parfaitement l'avis de Merwyn concernant ton mariage, tes enfants et toute les fioritures qui vont avec les déboires d'un mariage de sang-purs [ murement rabâché par maman ] ; mais complaisante face à cet avis, que tu sais purement provocateur. )

Je songeais justement à la nostalgie qui me guette chaque fois que je pense à Poudlard éludant la question sur la santé, portant son attention sur ses yeux bleus perçants.
( Oh, que tu y penses ; à vos années à Poudlard.
Peut-être pas aussi spécifiquement à lui, mais tu y songes ; quelques-fois. Dans la nuit, entre le cauchemars et les rêves, dans ces phases de sommeil où la gravité s'inverse pour que les si remplacent les depuis. )

&& Un rire cristallin, à l'évocation du bal de Noël. Au détail près que tu n'aurais pas eu à me tirer de la foule, en furie. Tout le monde savait pertinemment qu'il n'était pas question de poser le petit doigt sur moi  (tant que tu étais dans les parages) derniers mots avortés en pensant à la réalité. Rire. Visiblement ; ce n'est plus qu'un fait de placard depuis que la bague est passée au doigt d'un Slughorn, bien plus discret ; bien que pas moins orgueilleux.

L'étreinte rapprochée ; un seul pas de danse et une mélodie plus douce, alors qu'elle en profite pour s'approcher de son visage, murmurer plus intimement les pensées qui lui traversent l'esprit. C'était une bien autre manière de régler les différents, Poudlard ; n'est-ce pas ? Toutes ces interdictions que l'on contournait, tous ces règlements qui n'avaient de sens pour nous que lorsqu'on se faisait réellement attraper.
Les souvenirs à la fois mêlés d'intimité et d'amusement ; tant les épreuves ont été nombreuses à Poudlard ; qu'elles fussent liées par la communauté, ce petit groupe de sang-purs (et parfois mêlés) pour lesquels vous vous sentiez rois, dictateurs ; maîtres des couloirs et des dortoirs ; ou qu'elles fussent liés à vos découvertes, à deux, nichés dans l'obscurité d'un escalier, ou d'une alcôve de l'école. Te rappelles-tu de la... hum, douche de sortilèges ? que nous avions fait prendre au petit Shacklebolt ? Je crois qu'aujourd'hui sa mère doit encore le bercer pour dormir la nuit. Desserre l'étreinte, pour reprendre la danse de manière moins proche, moins sensuelle ; alors que ses doigts se positionnent autour de la nuque du cavalier.

Et toi, comment te portes-tu ?

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(#) Jeu 11 Avr - 20:25    Re: irrational ( merwyn & persée )

irrational
@Persephone Slughorn janvier 1985

plus avenante, quand elle sourit à tes inepties.que ce soit par honnêteté ou politesse, sourire que tu lui retournes se veut quant à lui un tant soit peu sincère parce que comme quelques rares individus autres, jolie persée en vaut la peine.

moue à la fois amusée et sceptique, tu ne crois pas un seul des mots qui sortent de sa bouche. tu sais que vous pouvez être honnêtes l’un envers l’autre, tu lui fais suffisamment confiance pour ça, mais tellement plus drôle de jouer avec les mots et le sarcasme. tu te regarderais de travers aussi, à leur place. pas que tu aies besoin d’un statut de sang plus pur que les autres pour te permettre de juger autrui, ceci dit. comme quoi.

”oh ? je t’en prie, dis-m’en plus.” tu ne te lasseras jamais d’entendre parler de vos années passées. il y a bien quelques moments que tu n’as en aucun cas aimé, une année spécifique que t’aimerais bien oublier, mais les dernières, tu t’en rappelles. probablement enjolivées par une mémoire inévitablement défaillante, le poids des années et des nouvelles expériences, nouveaux souvenirs qui écrasent les plus vieux, phénomène auquel tu ne peux pas faire grand chose.

bien que tendance à documenter l’ensemble de ta vie sur papier t’aide à te souvenir du pire comme du meilleur. quelques instants passés en sa compagnie se rapprochent plus du meilleur. ”et c’était terriblement bien pensé de leur part.” tu ne sais après tout pas vraiment ce qu’elle en a pensé, de vos moments partagés à cette époque. un minimum de bien, tu t’en doutes. vous ne vous entendriez pas si bien aujourd’hui si ce n’était pas le cas. ça t’a personnellement plu.

tout comme tu as trop apprécié jouer au parasite. t’intégrer au sein d’un groupe qui n’est pas tiens, te faire accepter comme si c’était normal qu’un petit sang-mêlé de merde traine avec plus prestigieux que soit. t’en avais vraiment pas grand chose à foutre à l’époque, peut-être bien ce qui fait ça marchait si bien. ”ça avait quelque chose d’excitant, l’appréhension que ça se sache, de se faire dénoncer.” bien que les conséquences t’avaient toujours peu importé. mais l’idée même des réprimandes te fait grimacer. ”une époque où peu importait, finalement. on ne risquait pas grand chose.” alors qu’aujourd’hui, vous risquez tout. enfin. de ton côté, pas l’impression de risquer grand chose. ta famille se limite à ton père et ton frère, le reste, tu n’en n’as que faire. c’est différent, pour persephone. tu pourrais la plaindre si tu ne trouvais pas ça si insultant. un rire honnête t’échappe. souvenir pas si vague que ça, mais tu penses ne pas être le plus marqué par l’affaire. ”oh, si je m’en rappelle… je me demande ce qu’il devient, avec tout ça. sans doutes que tu en sais plus que moi. navrée pour lui, mais l’avoir martyriser fait partie des meilleurs souvenirs que je peux avoir de poudlard.” tu exagères sans aucun doutes, mais l’idée reste amusante. ”ils avaient fait venir nos parents à tous, une fois. je ne sais plus si les tiens ont pris la peine de répondre à cette charmante invitation, mais les miens m’ont rabâché les oreilles avec des satanés discours sur le respect et l’altruisme pendant des mois…” à voir où tu en étais aujourd’hui, tu préfères ne pas t’attarder sur le sujet.

mais parler de toi, tu sais faire. bien que tu n’as jamais été trop égocentrique à ses côtés. c’est une personne intéressante que tu apprécies entendre parler. ”bien, rien de bien spécial, tu sais. ravi de pouvoir assister à une soirée du genre et de me rappeler combien je m’estime chanceux d’être.. dans la situation dans laquelle je me trouve aujourd’hui.” seul, tranquille. jamais parents n’ont osé aborder avec toi le sujet du mariage, ou pire, des enfants. avantage de ne pas avoir l’obligation de faire perdurer sa lignée ou de s’assurer une quelconque alliance. ”bien que quitter mon bien confortable appartement pour venir ici et faire semblant d’apprécier les trois quarts des personnes qui daignent m’accorder la parole fut plus compliqué que je ne l’aurais pensé.. mais rien de bien intéressant.”


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(#)     Re: irrational ( merwyn & persée )

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