identité : mundungus; tu préfères te persuader que tes parents en aimaient la consonnance plutôt que de te dire que l’on t’a délibérément appelé ‘tabac qui pue’; rapidement surnommé dung, mund, gus ou peu importe ce qui pouvait être plus court que ton prénom par ceux de ton âge. fletcher;  sans doute qu’en remontant assez longuement dans la lignée des fabricants de flèches se retrouveraient à l’aube du nom de famille. âge & naissance : les 42 ans tout justes atteints ; nombre auquel t’as arrêté de faire attention depuis un bail; né à blyth dans le sud du northumberland, le 29 avril 1941.origine & nationalité : des origines britanniques en ce qui concerne la famille, la nationalité suit, tu n’y fais pas exception, né sur le sol anglais à ton tour. statut de sang : le sang mêlé depuis plusieurs générations, que ce soit du côté de ta mère ou de ton père. études : le sol de poudlard qui est foulé durant sept années, du côté des bleu et bronze. emploi & finances : ʛʛʛʛʛʛ, du trafic à gauche et à droite, fluctue les revenus selon l’énergie mise et la nature du trafic en lui-même. la fâcheuse habitude de dilapider un peu trop rapidement les gallions gagnés. officiellement pigiste pour le witch weekly, une bonne couverture par moment, qui ne peut que te plaire par la même occasion; officieusement trafiquant d’objets magiques. statut civil :rien de mieux que la liberté, quelques attaches au cours des années mais rien de bien sérieux, le célibat toujours présent. orientation sexuelle : pas vraiment intéressé par le genre de la personne, beaucoup plus par la personnalité, pansexuel. baguette magique : un bois de cornouiller particulièrement bruyant, 24,78 cm, plume de phénix, assez souple. particularité magique : aucune, toujours contenté de tes dix doigts et d la magie petit à petit acquise et domptée au fil des années origines de l'avatar : anglaises.

Que pense ton personnage de la situation actuelle ?
pas celui qu’on suspecterait au premier abord de choisir un camp, guerre dans laquelle tu n’avais pas réellement pensé au départ t’impliquer. déjà bien assez à régler avec tes propres magouilles, te sortir de tes propres emmerdes. jusqu’au jour où tu t’en attiras une bien trop grande pour toi; celle qui sans l’aide d’albus t’aurais emporté dans des fonds abyssaux. et si t’as bien une qualité, c’est ta loyauté envers tes quelques personnes de confiance. nul doute qu’albus en fasse partie depuis quelques années; sous ses conseils que tu t’es décidé à rejoindre l’ordre du phénix; tes contacts et connaissances sur le marché noir se révélant plus qu’utiles ; faisant même de toi un informateur de qualité, plus efficace que ceux qui se contenteraient de se tenir loin de toutes escroqueries, avec tes oreilles et tes yeux traînant un peu partout.

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premier et dernier enfant de cette branche des fletcher; mais la chance de grandir dans la maison familiale avec ta cousine et ton cousin, tels des frères et sœur, séparés uniquement de quelques années. • baignés constamment dans la magie, aucune surprise lorsqu’elle se déclenche chez toi -déclenchant au passage un dégoût particulier pour les limaces après que trois d’entre elles t’aient explosées sur les bras suite à ça-. • le dernier des gosses à rejoindre poudlard; quasiment un enfer permanent que tu fais vivre à ta tante, ton oncle et tes parents lorsque tu t’es retrouvé seul gamin l’année avant ta rentrée • deux tentatives la même année de t’immiscer dans le poudlard express, le premier septembre et à la fin des vacances de noël, malgré l’aide de tes cousins, ça échoue lamentablement tu gagnes juste le droit de ne pas remettre les pieds à king’s cross à la fin de leurs vacances de pâques • enfin l’âge de te rendre au château, minutes qui te semblent interminables assis sur le tabouret avec le choixpeau qui recouvre la moitié de tes yeux et met un certain temps à te répartir, se décide finalement à t’envoyer chez les serdaigles. • passionné par tout ces cours, toutes ces nouveautés, tu les bouffes les bouquins assignés, découvre une facilité surprenante à retenir ce que tu viens de lire, pas spécialement longtemps mais ça t’est déjà bien pratique. • rapidement désintéressé par les études, préférant plutôt passer ton énergie à amuser la galerie, être dans les premiers de la promotion ne t’intéressant absolument pas. • pas tellement de mal à intégrer un groupe non plus, une sociabilité innée; bien que certainement pas appréciée de tous. • la scolarité pas si mouvementée que ça, des notes généralement bonnes sans vraiment fournir d’efforts; encore moins de l’attention dans les cours qui ne t’intéressaient pas plus que ça. • les premiers pas dans le marchandage; à s’occuper des dissertations ou devoirs de l’un ou l’autre en échange de boîtes de dragées surprises ou de chocogrenouilles • la collection de cartes qui finit par se compléter entièrement; pas vraiment un succès utile, mais succès quand même • les années d’études qui touchent à leur fin; les parents qui espèrent que tu suives les traces de ta cousine déterminée à rejoindre un jour le magenmagot les espoirs ruinés en un sourire de ta part en annonçant que tu prends une année sabbatique • pas vraiment une surprise lorsque l’année se transforme en plusieurs, vraiment trop bien dans ton coin sans t’encombrer d’études ou travail • nettement moins bien vu par tes parents, alors un peu à contrecœur tu cherches, le chemin de traverse t’ouvre les portes dans une boutique qui ne paye pas vraiment de mine, un peu recluse et surtout près de l’allée des embrumes • job peu passionnant, mine de rien t’apprécies le contact avec les clients; les pauses de plus en plus souvent passées dans la rue la moins recommandable du coin. • fascination et adrénaline montante pour tout ce qui peut s’y passer, l’envie qui ne peut que se creuser en entendant certains montants qui y circulent. l’idée qu’un jour tu puisses en vivre sans avoir spécialement autre chose à côté. • tu finis par t’y essayer, t’y lancer, même si tu te rends bien vite compte que tu t'es décidé à jouer dans une cour de bien plus grands que toi, que les enjeux sont plus importants que ce que t'aurais pu penser. • ça ne te fait pas spécialement peur pour autant, tu t'accroches, à chaque fois que tu te fais rouler t'essayes d'apprendre de tes erreurs. • petit à petit ce qui passe entre les mains a de plus en plus de valeur; sans avoir à utiliser ta force (quasiment inexistante) tu préfères comme à ton habitude utiliser ta tête. • la tchatche paye aussi mine de rien, petit à petit tu te fais des habitués; assez pour quitter ton travail sur le chemin de traverse et consacrer tout ton temps au reste. • une vie plus mouvementée, sans routine, qui te convient bien plus que ce que t’avais pu vivre jusqu’à maintenant. • premiers ennuis avec le ministère, pas encore trop gros, histoires de licence pour le commerce manquante. • les amendes qui s’accumulent malgré les moults et diverses tentatives de t’y soutirer. • l’idée de reprendre un travail plus officiel pour pouvoir toujours s’assurer un fond; voir même une couverture. • le journalisme presque en évidence, le statut de pigiste pour plus de liberté, plus de facilité. • les yeux plus gros que le ventre, l’affaire qui mène devant le magenmagot, qui prend bien plus d’ampleur que pensé; qui se dénoue en ta faveur grâce à l’aide d’albus, bien plus fiable que n’importe laquelle de tes autres connaissances. • hésitation à rejoindre l’ordre du phénix lorsqu’il te le propose, parce que c’est quand même lourd de conséquences. • la loyauté qui finit par passer avant le reste, un poste d’informateur que tu te décides à assumer entièrement, y mettant même du tiens le plus possible contrairement à ce que tu pouvais laisser paraître, essayant tant bien que mal d’aider et de sauver quelques âmes dans cette guerre.




énorme poil dans la main, flemme sans grand égal qui pousse à utiliser la cervelle pour essayer qu’on fasse certaines choses à sa place • difficile d’obtenir directement du sérieux de sa part • fouine des temps modernes, presque toujours au bon endroit au bon moment pour intercepter la discussion gênante; l’oreille qui traîne au cas où l’esquisse d’un bon plan se dessinerait. • bien plus doué en magie défensive que dans les autres domaines • semble au courant de tout, de la moindre rumeur; en lance de même beaucoup à son tour aussi. • assez débrouillard, monte souvent un plan de secours en tête au cas où le premier volerait à l’eau. • véritable moulin à paroles lorsqu’il s’y met; quasiment impossible à arrêter. • pas si grand menteur que ça; préfère noyer le poisson sous une tonne d’informations inutiles mais véridiques. • capacité à transplaner (fuir) rapidement, pas toujours de manières concluantes, plusieurs désartibulations à son actif • refuse rarement un verre, bien qu’il ne tienne pas franchement bien l’alcool. • toujours là pour lancer les mauvaises idées; moins pour les exécuter. • arriverait à faire passer de l’eau colorée (ou pire) pour du felix felicis ; pourrait réussir à le vendre à une personne un minimum réceptive en ne l’écoutant parler que quelques minutes et après l’avoir cernée. • nuits passées entre une chambre louée au chaudron baveur et chez les proches détenteurs d’un lit ou canapé libre et désireux de se coltiner un squatteur d’une (plusieurs ?) nuit. • pointe de productivité sortant son nez au crépuscule ou en pleine nuit,  tient plus de l’activité d’un animal nocturne qu’autre chose.


mischief managed.

ce personnage du feu de dieu, je m'en remets pas.       il est tellement parfait sous ta plume, j'ai adoré ta fiche, et j'ai juste troooop hâte de le voir nous retourner les rues de londres avec ses magouilles, ton petit dung.   amuse-toi bien avec ce nouveau perso !      

Tu es maintenant prêt.e à t'épanouir à nos côtés ! Nous te suggérons de commencer par aller vérifier les registres, afin de t'assurer que tout est bien en ordre — puis tu es libre de t'amuser ! N'oublie pas qu'en cas de besoin, tu peux toujours contacter @sirius black, @mercutio mulciber, ou l'un des membres du staff qui nous aide en ce moment. Bon jeu parmi nous.  

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