The Light of the Moon

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ft. @Ren Dahlström & @Ozymandias Slughorn  

ren, tu étais en mission pour l'ordre, tu suivais une piste ; une bande de braconniers trainait dans le coins, chassant les créatures magiques pour le compte des mangemorts. Impossible de les laisser faire. T'as pas eu de chance, ils étaient plus nombreux et on réussi à t'enfermé dans leur planque avant de mettre les voiles. Ozymandias, tu as entendu parler de ces braconniers, mais tu as aussi entendu dire qu'ils comptaient la faire à l'envers et vendre leur marchandise à l'étranger pour faire plus de profit et s'attirer moins de problèmes. On t'a envoyé leur faire comprendre qu'on n'arnaquait pas les mangemorts. Petite mission facile qui devrait t'aider à te faire bien voir au sein de l'armée du seigneur des ténèbres. T'es juste arrivé un poil trop tard. Ils sont partis plus vite que prévu, en arrivant à leur planque, t'es juste tombé sur Ren, enfermé là. Vous n'avez pas eu le temps de vous demander pourquoi ils sont partis si vite et sans avoir fini leur traque qu'un hurlement de loup vient vous glacer le sang. La pleine lune, voilà pourquoi ils ont foutu le camp si vite. Ennemis de base, peut-être que c'est le bon moment pour vous allier. C'est pas un loup que vous entendez, mais une meute ; loup ou loup-garou, la différence physique est moindre, mais avec cette lune ronde dans le ciel, l'erreur n'est pas permise.

à savoir
• Il n'y a pas d'ordre précis, débute le rp qui veut.
• Une fois terminé, pensez à faire archiver le rp.
• Amusez-vous.  

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ft. @Ren Dahlström

tw : aucun

cape claque au vent, la resserres légèrement espérant avoir un peu plus de chaleur, tout en fixant bâtisse qui se dressait devant toi. pas de temps à perdre; braconniers à l’intérieur avaient passé accord avec les mangemorts au premier abord. aviez surtout eu vent qu’ils avaient changé d’avis sans prévenir. mission pas franchement compliquée, une des premières en solo que tu comptais mener à bien, même si une part regrettait de ne pas pouvoir rester avec le reste de la famille ce soir. avait bien fallu faire un choix, venais d’intégrer les rangs et n’avais pas envie de rater l’occasion de monter un peu les échelons. main déjà sur la baguette, comptais sur réflexes et effet de surprise, duels n’étaient plus un problème depuis longtemps, nombre d’adversaires par contre pourrait vite jouer en ta défaveur. pousses la porte et te rends compte que t’étais inutilement sur tes gardes, au final. planque presque parfaitement vide de vie, à l’exception d’une. gars enfermé un peu plus loin, gardes baguette en main si besoin, même si l’avais légèrement baissée en t’avançant de quelques pas dans la pièce, ou précipitation semblait avoir été de mise. « vous ne ressembliez pas assez à une manticore pour qu’on vous abandonne lâchement ici ? » essayes d’apercevoir le moindre signe qui pourrait trahir une embuscade, semblaient prêts à vous la faire à l’envers, ne serait pas étonnant qu’ils s’attendent à des représailles. jettes à nouveau un regard à l’homme dans la pièce, n’a pas l’air blessé, pas grièvement en tout cas, alors te permets de faire d’abord le tour de la planque en prenant délibérément ton temps. « vraiment dommage qu’ils ne vous aient pas laissé les clefs » pourrait le libérer d’un coup de baguette, mais en profites plutôt pour au passage récolter quelques informations, tout ce qui pouvait sembler intéressants dans cette planque, refusais de t’admettre vaincu aussi rapidement, certain de pouvoir les retrouver d’une manière ou d’une autre. trouves entre autre quelques baguettes sur une table, les prends de ta main libre quand hurlement de loup déchire la nuit, coupe court à tes recherches alors qu’une seule conclusion ne daigne venir à l’esprit dans l’immédiat. connaissais calendrier lunaire sur le bout des doigts; depuis des années. source de stress incessante qui était bien loin de ne se pointer qu’une fois dans le mois. possible loup-garou non loin de vous, certainement bien moins entouré et surveillé que dernier de la famille, à qui t’avais l’impression d’avoir fait faux bond ce soir.

arrêtes ton cirque, ravales l’air fier qui s’était claqué sur le visage, sérieux de mise lors des situations critiques et ne seriez pas trop de deux pour faire face à celle-ci. verrou cède en un rien de temps face à la magie, tombe à terre alors que tu lui ouvres la porte dans un grincement qui ne ferait que trahir votre présence à peu importe ce qui pouvait se trouver juste dehors. « il y a votre baguette là-dedans où ils sont partis avec ? » lui tends les trouvailles d’il y a quelques minutes, vaudrait la peine de ramener les autres, d’essayer d’en identifier les propriétaires. soit partis trop précipitamment que pour les prendre avec eux, soit anciens prisonniers de cette bande, dont seul merlin connaissait leur destin.

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ft. @Ozymandias Slughorn

tw : language corsé? hihi

C’est à travers les barreaux de sa capture magique que les mains menottées de Ren se tendent, au possible. S’il parvenait ne serais-ce qu’à atteindre les clés, juste là. Solution parmi tant d’autres pour ce qu’il avait aussi tenté la télépathie et les sortilèges sans baguette. Note mentale de ce qu’il aurait dû faire avec Cordelia, une fois qu’il l’avait laissée seule, afin qu’elle ne puisse pas s’enfuir aussi facilement, Ren s’étire un peu plus, visage collé contre le métal, si proche, mais si loin de son but. Dans un grognement, le pirate se laisse retomber par terre et reprend son souffle. Oh, I think I might have a slight problem here. Ce n’est que lorsque des bruits de pas se font entendre qu’il se redresse, lentement sous le cliquetis des chaînes qui se retrouvaient entre ses mains. Un homme qu’il dépassait d’une petite tête semblait s’être infiltré dans le repère magique. Baguette devant lui, qu’il baisse à la vu du prisonnier, ne serais-ce que légèrement. — “ vous ne ressembliez pas assez à une manticore pour qu’on vous abandonne lâchement ici ?” Ren qui arque le sourcil, face à l’audace. Le sorcier ne faisait pas partie de la clique qui l’avait capturé, il ne semblait pas être dans le même camp du tout. — “Hélas, la beauté a toujours un prix, mon ami.” balancé dans un haussement d’épaule désintéressé.

L’inconnu se promène, fait le tour de la pièce, prends son temps et laisse le géant moisir dans sa cellule. L’impatience grandit pour ce qu’il n’avait plus rien à faire ici. Le butin avait été collecté par les braconniers, la mission était tombée à l’eau et encore bien heureux qu’on l’avait laissé vivant.

Pour l’instant, réalise t-il.
They didn’t leave in such a hurry for nothing.

— “ vraiment dommage qu’ils ne vous aient pas laissé les clefs. ” Les yeux de Ren qui s’arrondissent, alors qu’ils retrouvent la silhouette étrangère l’air de dire: I wouldn’t still be here, dickhead. Il semble inutile de mentionner que les clés sont là, juste trop loin pour qu’il puisse s’en saisir à partir de son infortune. Après tout, se moquer de son sauveur est de mauvais goût et le pirate n’avait qu’une idée en tête, quitter le territoire pour retrouver les vagues du Riptide. Qu’on le prenne aux mots; il s’agissait là de sa dernière mission solo pour l’Ordre du Phénix. Les pensées de Ren bifurquent contre l’esprit de l’homme. L’envie de connaitre ses motivations, ce qui le retient dans cette cache maudite, ce qui l’empêche de laisser le pirate en plan, mais se frotte à un mur. La surprise gagne ses traits alors que l’absence de visions, l’absence d’information ne pouvait se résumer qu’à une chose. These god damn occlumens.

Ren n’a toutefois pas le temps de pousser l’investigation plus loin lorsque les hurlements de loups se font entendre. Et désormais, il y avait une bonne raison de s’enfuir. Pour ce qu’il avait vu plus tôt, cette partie de la forêt était étendue et surtout, protégée d’un sortilège anti-transplannage. Lui, qui n’était pas du type à faire des randonnées pédestres s’était retrouvé à pieds dans le bois. Lui et l’inconnu ne tiendraient pas bien longtemps; et Ren n’avait pas l’intention d’ajouter morsures à cicatrices sur le derme de son corps. Enfin libéré, de par la BONTÉ du brun face à lui, Ren observe. — “il y a votre baguette là-dedans où ils sont partis avec ?” Négatif de la tête, alors qu’il savait pertinemment que sa baguette se retrouvait un peu plus loin dans le campement, à l’endroit même où il avait été désarmé un peu plus tôt. Your love of shiny things will kill you someday. C’est la voix de Kara, qu’il entend. Pas qu’il le lui avouerait un jour, mais elle avait probablement raison. Ren laisse l’homme en suspend, l’urgence de la situation se faisant ressentir de seconde en seconde, puis il hausse les poignets à la vu de son interlocuteur. Ren tire de par et d’autre, les cliquetis métalliques des menottes se font entendre une fois de plus.  — “Un coup de main, peut-être?”

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ft. @Ren Dahlström

tw : aucun

odeurs de la pièce qui se mélangent, qui provoquent moue sur le visage. pouvais certifier que créatures avaient pu séjourner dans cet endroit. essayes de remonter derniers évènements qui s’étaient déroulés dans la pièce, ce qui avait bien pu les faire fuir aussi rapidement en laissant prisonnier derrière eux. a encore la force de faire dans l’humour, était plus que bon signe sur son état. « à qui le dites-vous. » simplement rétorqué en faisant le tour de la pièce, bien trop rapidement écourté par ces hurlements. temps de sortir interlocuteur de derrière les barreaux. malheureusement sa baguette ne fait pas partie des précédentes trouvailles, essayes de distinguer les bois, de voir s’il n’y avait pas laurier ou noyer noir dans le tas, qui se plieraient plus facilement au bon vouloir du sorcier le temps que vous vous sortiez d’ici. cliquetis qui accroche l’attention, loucherais presque sur les poignets haussés à ta hauteur, relié par attaches en métal.

plutôt mourir que d’admettre que tu n’avais pas remarqué lesdites menottes, attention portée jusqu’alors plus vers la pièce qu’autre chose. sourire forcé plaqué sur les lippes. « ce n’est pas comme si vous seriez en mesure d’en donner un. » lèves baguette d’un geste assuré vers ses poignets, simple alohomora ricoche contre lesdites menottes, te penches un instant en en prenant une du bout des doigts. sortilège plus complexe atteint bel et bien sa cible, mais n’ouvre en rien la fermeture, au contraire double et renforce les bracelets. grognement à la porte, lycan ou loup avait été attiré jusque-là au choix par les odeurs des créatures ou par les vôtres. et vu solidité de ce qui entourait le repère, il valait mieux pour vous ne pas trop vous y attarder, si vous vouliez rester en un seul morceau. temps presse, pouvais pas analyser éternellement ces menottes alors que tu n’étais pas spécialiste en la matière ; aurait été bien plus pratique de pouvoir transplaner directement, pour vous mettre en sécurité, avoir plus de temps pour. faudrait trouver un autre moyen de vous en sortir.

regard s’arrête sur bouteille non loin, sans étiquette apparente, sans aucune couche de poussière dessus non plus. verres juste à côté, dont certains sales, laissent à penser qu’il ne s’agissait pas de poison, ou d’un quelconque somnifère pour créatures au plus ou moins gros gabarit. l’ouvres précautionneusement une fois en main, odeur ne trompe pas, bien que ne t’y tenterais pas à le goûter, alcool pourrait vous servir de couverture temporairement. en asperges le géant sans trop de précaution ou avertissement. « évitez de trop vous rapprocher de flammes, on aura franchement autre chose à faire que de se retrouver avec une torche humaine sur les bras. » bien que ça ferait certainement fuir ce qui vous attendait dehors, où les tiendraient à l’écart suffisamment longtemps que pour te laisser partir et t’en sortir. grimaces en renversant bouteille cette fois-ci sur toi, espérant que ce serait rattrapable, qu’odeur finirait par partir une fois après être passé entre les mains des elfes de maison. regard de dépit vers manches désormais collantes n’est pas foncièrement inutile; guide les yeux vers amas métallique au sol, amoncellement de clefs gisant non loin de l’ancienne geôle du cadet. le fait venir d’un coup de baguette jusqu’à la paume libre, grosse dizaine de clefs, voir quinzaine dont certaines rouillées, certainement l’une d’entre elles qui aurait permis de libérer prisonnier avec un peu plus d’efforts. avec un peu de chance, solution parfaite pour le débarrasser de ses menottes s’y trouvait aussi, aurais pu essayer de comparer serrures et embouts si coups et grattements à la porte ne vous pressaient pas encore plus, désignes sortie à l’opposé du menton. « on verra ça dehors, j’ai vraiment très peu envie de finir ici. »

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ft. @Ozymandias Slughorn

tw : attaque animale, alcool

— “ce n’est pas comme si vous seriez en mesure d’en donner un.”
— “Ah. Haha.”

L’humour de l’inconnu n’avait animé Ren que le temps d’un sarcasme. L’importance de préciser qu’il n’avait pas besoin de ses deux mains libres pour lui en foutre un lui vient à l’esprit, mais le turbulent se résigne en réalisant qu’il ne pouvait décemment pas confronter Kara, encore menotté, pour ce qu’il avait un peu de fierté à préserver. Il n’avait pas besoin de son équipage, il avait encore moins besoin de l’idiot qui se trouvait face à lui, mais pourtant - ravis d’enfin entendre un alohomora se matérialiser, le pirate déchante bien vite. Tout ricoche, le grand dadais se penche et évite in-extremis le soupçon de magie qui restait. — “Oyyyyyyyy!” En se relevant, Ren secoue vigoureusement de la tête, mauvaise humeur visible, c’est en grognant qu’il constate ce qu’il pensait couler de source. Pas forcément pour le type qui l’avait rejoint dans le repère. — “J’aimerais repartir en vie, si possible en un seul morceau.” Les défenses, les menottes sur ses poignets semblaient s’être renforcées et Ren ne pu s’empêcher un roulement des yeux. — “Ils laissent n’importe qui pratiquer la sorcellerie de nos jours.” lâché entre les dents, bien conscient du fait qu’il semblait de prime à bord plus jeune que son interlocuteur. Le sarcasme fonctionnait tout de même; pour ce qu’un enfant aurait pu sentir le piège.

Mais pas le sorcier, et sans le reconnaitre,
Lui non plus, il n’avait rien vu.

Le pirate aurait pu s’éterniser sur la compétence de son adversaire, mais un grognement à la porte de l’abrit le ravis au dernier instant. Ça claque, ça cogne, ça grogne et il a l’impression de se retrouver au plein centre de ce conte moldu qu’on lui avait raconté autrefois; trois petits cochons et une bestiole, something like that. Il était, bien évidemment, le plus beau des cochons dans cette histoire. C’est tout occupé qu’il était à retrouver le titre qu’il n’aperçoit pas Ozymandias s’approcher de lui. S’il l’avait vu - il aurait ouvert la bouche, pour ce que le type transportait son breuvage préféré avec lui. Pas le temps de réagir que Ren se retrouvait aspergé. L’homme en demi portion venait de profaner ce qui se trouvait de plus sacré. — “Que - phhlppfflphh!!!!- L’ALCOOL!” L’insulte au parjure, l’air offensé de Ren n’a toutefois aucune conséquence sur l’homme, qui réplique, après avoir terminé la bouteille sur lui-même. — “évitez de trop vous rapprocher de flammes, on aura franchement autre chose à faire que de se retrouver avec une torche humaine sur les bras.” Ren avance, comme pour donner un bon coup dans la direction du sorcier, un bon coup vers le feu, puis s’en empêche, comprenant qu’il aurait probablement besoin de lui pour s’échapper une fois le calme revenu - s’il revenait un jour. — “Avec cette attitude, je risque de vous y pousser avant de m’en rapprocher.” gommelé à la va-vite, alors qu’il tournait sur lui-même à la recherche d’une idée.

Ozymandias trouve dans un tintement familier, le chemin de la liberté pour Ren et le géant se retourne d’un coup, lui faisant à nouveau face. — “T’as trouvé la clé?” — “on verra ça dehors, j’ai vraiment très peu envie de finir ici.” Un coup plus puissant contre leur cachette de fortune force le scandinave à donner raison à l’étranger et le suit sans poser plus de question. Lorsqu’enfin, il repousse d’un coup d’épaule la sortie désormais qualifiée d’urgence, c’est sans surprise que dès le premier pas fait à l’extérieur, une bête séparée du troupeau les trouvent et saute sur Ren.

Surpris, les mains et les chaînes posées devant son corps, c’est ce que les canines trouvent. Métal enchanté qui cogne contre les dents du monstre, le grand blond se retrouve bien rapidement sur le dos. Repoussant le loup du mieux qu’il le pouvait, c’est encore un sortilège de l’homme qui lui sauve la peau. Sortilège qui n’avait jusqu’à lors pas encore alerté les autres bêtes. Ren se dégage impunément et prend la fuite, dans le campement. C’est hors d’haleines que les deux hommes s’arrêtent, que Ren contemple ses choix de vie et que finalement il demande.

— “Étais-ce vraiment nécessaire de vider toute la bouteille?”

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ft. @Ren Dahlström

tw : attaque animale, alcool, deux crétins

regrettais déjà d’être tombé sur pauvre âme qui vive dans ce trou, qui ne soit pas un de ces braconniers dont tu devais t’occuper, à la base. n’aurais pas pu deviner qu’il serait aussi insupportable, l’aurais laissé croupir là sinon, sans le moindre remord. aurait pu au moins te remercier de faire l’effort d’essayer de l’aider, plutôt que de critiquer à la première difficulté qui s’offrait à vous. qu’il soit content ou non, le résultat était bien plus que le même, ne vous avancerait en rien, ses commentaires. « — soyez déjà heureux de ne plus vous retrouver enfermé dans votre geôle, non ? » pourrais l’y remettre tout droit, si souhaitais tirer une croix directement sur l’éthique, tant qu’à faire. idée qui se fait d’autant plus tentante en entendant sa remarque sur la sorcellerie. regard qui se rive dans celui du cadet, ne se sentait-il plus à cause de la dizaine de centimètres qui semblait vous séparer, ou fallait-il mettre ça sur le compte de s’être retrouvé enfermé ? « — j’ai bien d’autres talents que celui d’aider des personnes terriblement ingrates, mais on en reviendrait au problème que vous finissiez en un seul morceau. » baguette désormais pointée vers son torse plutôt que sur l’entrave autour de ses poignets. mais peu importait le froissement d’ego qu’il venait de provoquer, situation se faisait plus urgente, plus pressante. valait mieux garder son sang-froid pour vous en sortir indemnes.

laisses tomber cette histoire de menottes, s’il était si malin que ça, n’avait qu’à essayer de s’en dépêtrer seul le temps que tu vous trouves combine pour gagner du temps face à ces loups, vous donner le plus de chances possible de pouvoir vous retrouver assez loin d’ici et transplaner. bien évidemment que l’autre mal luné n’apprécie pas de se retrouver aspergé, ignores totalement son air offensé, bien plus préoccupé par le fait de devoir te salir à ton tour. toujours dans la provocation, semble ne pas pouvoir s’en défaire, et toujours aucun remerciement pour tout ce que tu faisais pour lui malgré tout. « — avec mon attitude ? » toujours pas le moment d’en parler ou de régler vos comptes, déjà pas le temps de trouver la bonne clef pour lui libérer tout de suite les mains, relève quand même le tutoiement, prends la peine de lâcher un   « — on a élevé les croups ensemble ? » alors que porte menace de s’ouvrir sous la violence des loups. interlocuteur prend enfin le chemin de votre sortie, mais meute ne semblait plus être rassemblée. bête ne perd pas une seconde pour sauter sur ton cadet. aurais pu le laisser à son combat, en profiter pour te tirer, mais n’était pas franchement dans ton caractère. en quelques secondes, sort de pétrification trouve le possible lycanthrope, permet au blond de se dégager, et à vous de prendre enfin la fuite, en espérant ne pas avoir d’autres créatures sur les bras. mais arrivez à avaler les mètres, à vous éloigner de cette cache maudite.

arrêt enfin possible, à une croisée de chemins. alors que binôme du moment se plaignait que bouteille d’alcool abandonnée derrière vous soit entièrement vide, préfères ressortir ta baguette, faire apparaître des traces de pas dans la terre encore assez humide, le long de tous les sentiers, serait bien trop bête qu’ils retrouvent votre trace aussi facilement.   « — étant donné que je n’ai pas la moindre idée depuis combien de temps vous pourrissiez là-dedans, il était préférable de mettre la dose, oui.» regardes encore autour de vous, n’entends rien qui pourrait ressembler à des bruits de pattes ou de pas, mais n’es toujours pas satisfait, pouviez faire certainement bien mieux pour faire hésiter peu importait ce qui vous recherchait, en arrivant ici. « — vous en avez besoin ? » sans attendre de réponse de sa part, prend la cape qui lui couvrait les épaules, d’un sort l’envoie bien plus loin le long d’un des chemins du croisement, disparais de votre champ de vision en un instant, toujours dans l’optique de brouiller les pistes si jamais bêtes remontaient jusqu’ici. d’un geste de la tête, lui montre route qui inspirait le plus confiance, reprends la marche tout en prenant en main chaîne des menottes, en inspecter la fermeture tout en comparant les clefs du trousseau, mieux valait ne pas se tromper, vu ce que sorts avaient donné. après poignée de secondes, sembles avoir trouvé l’élue, n’attends pas plus longtemps pour la tourner dans la serrure, bruit on ne peut plus satisfaisant, alors que renfort des menottes cède, laisse place à une autre sûreté à l’aspect bien plus banal, clef serait bien plus longue à trouver pour les lui enlever complètement. « — au moins, c’est déjà un bon début. »

Spoiler:

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ft. @Ozymandias Slughorn

tw : attaque animale, alcool
L’inconnu voulait donc que le Capitaine lui jette des roses, hm? — “soyez déjà heureux de ne plus vous retrouver enfermé dans votre geôle, non ?” Ah! C’était mal connaitre Ren Dahlström que d’assumer qu’il était complètement pris au piège. C’était également mal connaitre Ren Dahlström que d’assumer qu’il serait reconnaissant. — “Je m’en serais très bien sorti seul.” Pas de merci. Il aurait trouvé une façon de se sortir tout seul du pétrin dans lequel il s’était placé. Malgré les promesses sincères sur le moment, de ne pas s’attirer d’ennuis qu’il avait fait à Kara, force était de constater que les problèmes trouvaient Ren à la place. Il n’avait même pas besoin d’y regarder trop fort. Il arrivait toutefois, toujours à s’en sortir d’une manière ou d’une autre. Il n’avait pas eu besoin du nain qui lui faisait face, avait seulement apprécié les quelques secondes qu’il lui avait offert avant de comprendre qu’ils étaient entourés de loups. I would’ve done it on my own and I would have done it better. Le reste de la conversation est remi à plus tard pour Ren, qui ne fait qu’entendre distraitement les mots ingrats, problème et morceaux, donc rien qui le concernait en somme.

La panique ne gagnait que très rarement le Capitaine et cette occasion n’en était pas une plus spéciale que les autres. Fanfaronner au milieu du chaos était la manière la plus efficace pour lui de trouver des solutions, quand bien même son companion d’infortune semblait s’être déjà embrayé en mode solution. Pas forcément enclin à penser à l’autre, alors qu’il se retrouvait toujours les deux mains liées, l’urgence de la situation atteignait à peine le géant suédois, pour ce qu’il ne pouvait s’empêcher de répliquer mot pour mot à son adversaire. — “avec mon attitude ?” Certainement pas la mienne, que Ren pense ouvertement. — “Oui, votre attitude. Êtes vous malentendant?” En plus d’être occlumen, ce qui rendait Ren particulièrement de mauvaise humeur. Ce dernier n’a pas le temps d’évaluer le degré de connaissance de l’autre, tenter de percer ses défenses minces ou fortes afin de connaitre les véritables intentions ou même le prénom de l’homme qui se trouvait à ses côtés. L’enfer éclate face à eux, Ren se fait une énième fois sauver la peau du cou par le sorcier. Pour un Capitaine, pour un homme qui avait survécu à maintes péripéties, son instinct de survie pour sa part semblait bel et bien inexistant. Plus loin du campement, mais toujours dans une zone anti transplanage, une nouvelle idée se germe dans la tête du pris au piège. Une qui lui était sortie de l’esprit en même temps qu’il avait eu le droit à un accès prévilégié aux canines du lycan.

— “étant donné que je n’ai pas la moindre idée depuis combien de temps vous pourrissiez là-dedans, il était préférable de mettre la dose, oui.” Grimace, tout en choisissant de ne pas répondre à la provocation, Ren reprend tranquillement son souffle, prend la note mentale qu’il devrait peut-être, potentiellement, arrêter de fumer, s’il pouvait espérer pouvoir continuer è esquiver ses ennemis à la course. Pas le temps de déblatérer sur le sujet que sa cape part au vent, sous la responsabilité de l’imbécile qui le trimballait un peu partout. — “vous en avez besoin ?” L’offense claire comme de l’eau de roche sur le visage de Ren, ne cache aucunement ses pensées. — “Vraiment, demander la permission c’est pas trop le genre de la maison, hm?” Il comprenait où le type voulait en venir, mais à choisir, il aurait été juste que - et Ren, refusant de bouger d’un centime tente d’arracher la cape de l’autre, ne s’arrêtant qu’en remarquant la fabrique du tissu. — “Et cette cape, VOUS en avez- oooh, je vois.” If it wasn’t yours, I’d steal it. L’argent ne semblait pas être un facteur pour l’homme qui lui faisait face. Ren relève donc les mains à la hauteur de son visage, à proximité l’une de l’autre vu les liens qui les reliaient toujours. Exaspéré par son manège, le sorcier semble prendre pitié et enlève la première ligne de défense sur les menottes. — “au moins, c’est déjà un bon début.” — “UN DÉBUT???” Ils avaient repris une marche, lente, mais Ren s’arrête immédiatement, comme un piquet. Un grand piquet insulté. — “À ce rythme, on y sera encore l’an prochain.” Gommelé à la va vite, alors que contrairement à l’autre, Ren déviait de sa route. Sa propre baguette se trouvait dans l’autre chemin, un peu plus loin et il était de notoriété que le capitaine ne laissait aucun membre de l’équipage derrière lui, pas même un bout de bois commun. Faisait comme s’il n’était pas entrain de changer le cap de leur direction, tirant doucement vers la gauche, à moitié conscient des lycans ou non, pas forcément inquiet du danger après son altercation avec les canines, Ren fait la conversation à défaut de pouvoir extraire les informations du crâne d’Ozymandias — “Avec des robes comme les votres, altesse, que fais-tu ici?”

Je te tutoie, et alors?

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ft. @Ren Dahlström

tw : attaque animale

peut-être bien que ni l’un ni l’autre ne saisissait pleinement conscient du danger qui risquait de vous tomber dessus d’une seconde à l’autre, si continuiez de trouver le temps et la salive pour rétorquer. mais ne pouvais tout simplement pas le laisser déblatérer et lui laisser possiblement penser que tu lui donnais raison.
« — j’aurais préféré être malentendant plutôt que de continuer de subir vos inepties. » un miracle que tu ne l’aies pas encore laissé en plan, faire passer ça pour un accident si jamais quelqu’un, un jour, posait une question. pas franchement le temps de penser plus longuement à la question, assaillants n’avaient pas de temps à perdre. et ô combien ça aurait pu être tentant de laisser le cadet au crocs du lycan, avait encore une maigre chance de se rendre utile, même si souffle finit par lui manquer au beau milieu de la fuite, te laisses au moins le temps de tenter de brouiller les pistes, entre autre avec sa cape. n’as même pas besoin de lancer un quelconque regard vers lui pour comprendre et capter son exaspération.
« — vis-à-vis d’une loque que vous pourrez retrouver sans mal, pas vraiment non. » n’allais pas non plus t’excuser de l’avoir débarrassé d’une telle chose, avec un peu de chance, le jour où il voudrait s’en reprendre une, il choisirait une cape avec un minimum de goût, cette fois-ci.

fronces les sourcils quand il met la main sur ta propre cape, mais interlocuteur semble rapidement comprendre ton choix, pourquoi n’avais pas sacrifié la tienne —et ne le ferais jamais—.
« — si vous pouviez éviter de la tacher, ça arrangerait tout le monde. » indispensable de repasser ta main où étaient venues se loger les siennes, comme pour mieux défroisser le tissu, un énième soupir exaspéré au bout des lèvres. finis par t’intéresser au trousseau de clefs trouvé, le libérer d’une partie de ses menottes, bien évidemment que n’allait toujours pas te remercier, que c’était loin d’être suffisant pour lui.
« — oui, surtout si vous vous arrêtez tous les deux mètres, même un enfant de trois ans ferait moins de caprices et irait plus vite. » et pourtant, les jumeaux en avaient fait en masse, continuaient quand ça leur prenait. mais jamais n’avaient réussi à autant t’exaspérer au point du scandinave. finis par lui refourguer le trousseau, qu’il serve au moins à ça, t’éviterait de te prendre d’autres remarques de sa part, et après tout, ne serait-il pas mieux servi que par lui-même ?

puis qu’est-ce qu’il faisait encore ce dégénéré à changer de cap comme bon lui semblait ? ne caches en rien le soupir qui s’ensuit, n’arriverait qu’à vous faire retomber dans les crocs des lycans. hésites bien pendant une poignée de secondes à le laisser faire comme il l’entendait, repartir de ton côté et que merlin -ou strictement personne- ne le garde s’il avait trop pitié de son cas. finis par le suivre, après un regard en arrière, qui confirmait que vous étiez encore en pseudo sécurité pour le moment. as déjà bien assez de quoi t’occuper avec les remarques de l’autre, son tutoiement que tu crevais d’envie de lui faire ravaler.
« — elle vous impressionne ? » en faisait bien trop, mais pouvais difficilement t’en empêcher. loin d’être la pièce la plus belle et la plus rare de toute la collection du manoir, mais ne viendrait jamais à l’idée d’acquérir et encore moins de porter n’importe quoi.
« — j’adore me balader dans des trous perdus les soirs de pleine lune et venir en aide aux ingrats de première classe qui peuvent croiser mon chemin. » n’allais pas non plus lui faire le plaisir de lui répondre, de calmer ses interrogations mal placées.

n’as pas l’esprit tranquille, parce que horde ne tarderait pas à se rendre compte que votre ancienne planque était parfaitement vide. éclair de génie -un de plus, c’était devenu fatiguant depuis fort bien longtemps de les compter-, que ne partages pas avec ton binôme imposé. avantage non négociable que d’avoir frère aîné travaillant au département des créatures magiques dans le cas précis, serait plus qu’utile si reveniez à recroiser la route de ce qui serait bientôt à vos trousses. rien de mieux pour le prévenir que de lui envoyer un message via patronus, serait bien plus rapide que de devoir commencer à chercher un hibou un tant soi peu docile dans les parages.

ne prend que quelques secondes à lancer le sort, qu’apparaisse hyène rayée au bout de la baguette. s’ébroue de ton son saoul, depuis le temps que n’avais plus réalisé le sort, semblait bien heureuse de pouvoir ressortir. marche à vos côtés le temps d’écouter le message destiné à ton frère, avant ed partir à toute allure, ne laisser qu’une volute de fumée derrière elle.
« — c’est par pur esprit de contradiction que vous avez décidé de partir par-là, ou y en a d’autres dans votre genre dans le coin que vous comptez retrouver ? » histoire de savoir à quoi te préparer mentalement exactement, ça pouvait être bien aussi.

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ft. @Ozymandias Slughorn

tw : lapins crétins
— “si vous pouviez éviter de la tacher, ça arrangerait tout le monde.” et par principe, parce que l'homme en face de lui venait de défroisser sa cape, Ren déposa un autre doigt dessus, par bonne mesure. Le nain n'aurait pas le droit au dernier mot, il se le jurait sous le nom de Morgane. Le pirate ne prit pas la peine toutefois, de répondre verbalement, pour ce qu'il était bien plus intéressé par les clés qui se trouvaient dans les mains de monsieur-j'ai-une-belle-cape. Tout ce qu'il demandait, c'était de la rapidité. Deux sorciers avec tous leurs moyens avaient plus de chance de s'échapper correctement, loin de cette attaque de loups, non? L'autre ne semblait pas tout à fait partager son avis. — “oui, surtout si vous vous arrêtez tous les deux mètres, même un enfant de trois ans ferait moins de caprices et irait plus vite.” Sauf qu'un enfant de trois ans ne se retrouverait pas en même position fâcheuse, du moins, pas dans l'expérience de Ren qui frôlait le -1. Ce qu'il utilisa, tout en marchant le plus lentement possible pour emmerder son interlocuteur. — "Tu en connais beaucoup des enfants qui se font pourchasser par des loups?" Oh, donc il se rappelait très bien où il se trouvait, mais il ne s'en souciait donc pas. — "Peut-être devrais-je mentionner ton nom au directeur de la police magique, c'est quoi?" S'il n'avait pas été pressé par le temps, tout comme l'homme à ses côtés, Ren aurait sorti un calepin afin d'illustrer ses dires. Il ne fallait pas être imbécile pour savoir que le pirate ne se rendrait jamais à la justice, mais comme l'intelligence de celui qui l'importunait était discutable.. valait mieux l'essayer.

La joute verbale ne faisait donc que commencer, alors que les deux paons se comparaient les plumes, de commentaire en commentaire. Pas que Ren n'en soit pas satisfait, au contraire, l'homme avait de la verve, tout comme lui. Leurs égos tellement stupides qu'ils en oubliaient presque ce qu'ils faisaient là. — “elle vous impressionne ?” Un regard incrédule que l'autre ne manqua pas, grâce à la pleine lune qui peignait des ombres sur leurs visages. — "Au moins autant qu'un mal du Portoloin." grincé entre les dents. Si Ren recherchait une réponse plus complète à savoir ce qu'il faisait dans le coin, c'est de l'idiotie pur qu'il rencontra comme un mur qui avait le goût étrange de sa propre médecine. — “j’adore me balader dans des trous perdus les soirs de pleine lune et venir en aide aux ingrats de première classe qui peuvent croiser mon chemin.” Oh yes. Sure. Suuuuuuuuure. — "Et moi, je suis le Ministre de la magie." Lança t-il dans tout le dramatisme dont il pouvait faire preuve, en continuant à s'éloigner subtilement (pas tant que ça).

— “ c’est par pur esprit de contradiction que vous avez décidé de partir par-là, ou y en a d’autres dans votre genre dans le coin que vous comptez retrouver ?” Ren releva les deux mains au dessus de sa tête, dans un majeur bien levé et bien grossier. Il avait perdu patience et pendant que l'homme le questionnait, Ren fouillait de ses pieds afin de trouver son morceau de bois à lui. Il n'avait pas eu la chance auparavant, face à une petite armée de braconniers, mais face à un simple petit sorcier pimpant? Même menotté, il se sentait confiant.  — "Quelque chose comme ça." Un coup de pied à gauche, un coup de pied à droite. — "Ah." Ren se pencha et pris possession de sa baguette en un mouvement, se redressant avec un air victorieux sur le visage. Sans plus attendre, il pointa sa baguette sur lui même, murmura une simple phrase, avant de tendre les deux bras vers le sorcier non loin, et de pointer sa baguette sur lui. — "Desillusio." De ce type de sortilège qui était utile au Riptide et qui était donc une de ses spécialités, faute de pouvoir se trouver une cape d'invisibilité. Ils prendraient plus ou moins l'apparence de ce qui se trouvait derrière eux et donc.. beaucoup, beaucoup d'arbres. D'un air suffisant et soudainement moins pressé, Ren releva l'échine, se tenant bien droit. — "Dis merci, et trouvons la fin de ce camp pour pouvoir transplaner hm?" Et Ren pris le chemin vers l'endroit où Ozymandias se dirigeait initialement,  frappant ce dernier de l'épaule au passage et se sentant plus en sécurité que jamais. — "Et ça se dit bon sorcier, non, mais." fit-il, en faisant craquer une branche de bois sous son poids.